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Le papa de Toto

C’est la rentrée des classes et en rentrant dans la classe la maîtresse dit :
– Aujourd’hui, j’aimerais beaucoup que vous me disiez chacun quel est le prénom de votre papa ! Toi Igor, comment s’appelle ton papa ?
– Mon papa s’appelle David !
– Et toi, Olive, comment s’appelle ton papa ?
– Il s’appelle Patrick madame.
– Et le nom du papa de Toto ?

Et Toto répond :
– Heu, je me souviens plus…
– Mais enfin toto que dit-on quand on appelle ton papa ?
– Heu… Ah oui ! On dit : « ON MAAAAANGE !!! »

Le stade ultime de la colère

Un professeur de psychologie commence son cours :
– Aujourd’hui, nous allons étudier les différents stades de la colère.

Il fait venir un téléphone dans la salle, compose un numéro au hasard et demande :
– Bonjour Madame, pourrais-je parler à Jacques, s’il vous plaît ?
– Vous faites erreur, il n’y a pas de Jacques à ce numéro.

Il se tourne alors vers les étudiants et dit :
– Vous venez d’assister à la phase de mise en condition.

Il recommence et la dame, un peu agacée, répond :
– Je vous ai déjà dit qu’il n’y avait pas de Jacques ici !

Il réitère une bonne douzaine de fois, raccroche après s’être fait hurler dessus par cette dame devenue hystérique et s’adresse à son auditoire :
– Voilà enfin le niveau ultime de la colère.

Là-dessus, un étudiant lève la main :
– Monsieur, il y a pourtant un stade supérieur.

Et, pour illustrer, il se saisit du téléphone, compose encore une fois le même numéro et dit :
– Bonjour Madame, je suis Jacques. Y a-t-il eu des messages pour moi ?

Envoie la corde !

Généralement, lorsqu’un navire débarque dans un port, il envoie des cordes pour qu’on l’attache au quai.

Un jour, un navire étranger débarque au port d’Alger et voilà que l’employé du port sur le quai cri en direction de la personne sur le bateau : « Armi lehbila ! (cela veut dire : envoie la corde) ».

Le marin le regarde avec de grands yeux sans savoir ce qu’il veut dire. L’employé du port répète une deuxième fois : « yaw Armi lehbila ! » et une fois de plus, le marin fait des gestes insinuants qu’il n’a rien compris.

À ce moment-là, un autre employé du port, voyant le manège, se dirige vers son collègue et lui demande : « c’est quoi le problème ?».

Et l’autre répond : « Depuis tout à l’heure, je lui dis Armi lehbila mais il ne le fait pas ! ».

Alors, celui-ci lève sa tête et dit au marin : « You speak English ? » et le marin tout content lui répond avec enthousiasme : « Yes ! I do ». Et l’algérien lui réplique : « Emala, armi lehbila… »

Le meurtre de l’armoire

Trois hommes se retrouvent au Paradis. Saint Pierre les convoque et leur demande les circonstances de leur décès. Le premier dit :
– Moi, je suis rentré à la maison après m’être disputé avec mon patron. Ma femme était couchée et le dîner n’était pas prêt. Je passe devant la fenêtre de la chambre et je vois qu’un type était en train de forcer la portière de ma voiture. Alors là, mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai poussé une armoire jusqu’à la fenêtre et je lui ai fait tomber sur la tête. Seulement, Saint Pierre, dans l’effort, mon cœur a lâché.

Le deuxième dit :
– Moi, je venais de m’apercevoir que, depuis cinq minutes, j’essayais d’ouvrir la portière d’une voiture qui n’était pas la mienne quand une armoire m’est arrivée sur la tête.

Le troisième homme intervient alors :
– Eh bien, moi, je n’ai rien compris du tout. J’étais dans une armoire…

Le motard et le martien

C’est un Martien qui entre dans un bar. Il commande deux bières et va postillonner sur la face d’un motard. Le motard dit :
– Tu refais ça pis t’es mort.

Le martien va commander deux autres bières et recommence. Là le motard dit :
– Ch’te laisse une last chance. Alors le martien recommande deux bières et va encore faire la même maudite chose. Le motard se fâche et dit :
– J’vais t’arracher les GRELOTS.
– J’ai pas de GRELOTS, dit le martien.

Alors le motard dit :
– J’vais t’arracher la BIP
– J’ai pas de BIP, répond le martien.
– Par OÙ tu pisses d’abord ? Réplique le motard.

Le martien répond :
– En POSTILLONNANT !