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La blague de l’histoire belge

Un type a un collègue de bureau gentil mais très pot de colle et qui a une marotte, c’est de raconter des petites histoires drôles (nous le soupçonnons, d’ailleurs, de les prendre sur ce site !). Bref, tout le monde le fuit. À la cantine, un jour, le premier type a le malheur d’être assis en face du raseur et immanquablement celui-ci lui dit :
– Robert, je vais te raconter une histoire belge.
– Écoute, je les connais toutes, les histoires belges.
– Mais celle-là, je suis sûr que tu ne l’as jamais entendue !
– Laisse-moi manger tranquillement. Je te dis que je les connais toutes.
– Tu ne peux pas la connaître, elle est toute nouvelle.
– Je ne veux pas me fâcher, mais je ne veux pas entendre ton histoire belge.
– Bon, bon, je ne te la raconterai pas !

Et les deux types continuent à manger en silence. Mais au bout d’un moment, le blagueur n’y tient plus :
– Alors, je vais te raconter une histoire russe.

Pour avoir la paix, l’autre craque et lui dit :
– Bon, si tu veux. Les histoires russes, je ne les connais pas.
– Alors, voilà. C’est un Russe qui s’adresse à un agent de police et qui lui dit : « Je suis bien à Moscou, une fois ? »

La blague de la réponse au phoning

La prospection téléphonique est une plaie… Voici quelques propositions de réponse pour en faire un bon moment :

1) Faites le sourd.

2) Attendez de savoir ce qu’on vous propose et mimez un gros pet. Demandez s’ils ne vendent pas plutôt du papier toilette.

3) Répondez à des questions par d’autres questions.

4) Dites « Attendez, je vous passe mon fils », puis prenez la voix d’un enfant de quatre ans.

5) Quand on vous demande si vous êtes bien monsieur (madame) Machin, dites qu’il (elle) est mort(e) et que vous êtes son fantôme.

6) Prenez un accent étranger.

7) Répondez aux questions à côté.

8) Demandez d’où on vous appelle, s’il y fait beau, si la cuisine locale est bonne, et embrayez la conversation sur le sujet du tourisme.

9) Ne dites rien.

10) Hurlez dans le combiné, en disant que vous entendez mal.

11) Dites que la sonnerie vient de réveiller votre bébé que vous avez mis une heure à endormir, et que par conséquent, c’est à votre correspondant de chanter « dodo l’enfant do » jusqu’à ce qu’il se rendorme. Forcez-le.

12) Commencez par demander comment votre interlocuteur(trice) est habillé(e), puis draguez-le(la) ouvertement.

13) Mimez une crise cardiaque.

14) Dites « ne quittez pas », posez le combiné et vaquez à vos occupations. Mettez le haut-parleur et chronométrez le temps que votre interlocuteur met pour raccrocher.

15) Demandez-lui de répondre à une énigme. S’il réussit, vous l’écouterez jusqu’au bout.

La blague des diplômes

Un patron d’industrie explique à un ami ministre :
– Mon fils me désespère, il délaisse ses études, ne cherche aucun travail, il ne fait que sortir, draguer les filles et boire !
– T’inquiète pas, je vais le prendre au ministère comme chef de cabinet à 5000 € par mois.
– Non, surtout pas. Il doit se rendre compte de la valeur de l’argent !
– Et que penses-tu de chef de service à 2500 € ?
– Non, c’est encore trop !
– Alors, sous-chef de service à 1700 € ?
– Non, tu n’as pas un poste tout en bas de la hiérarchie ?
– Alors là, désolé, mais je ne peux rien pour toi…
– Pourquoi ?
– Parce que pour ce genre de poste, il faut des diplômes.

La blague du prout féminin

Un petit garçon et une petite fille, âgés tous deux de cinq ans, jouent dans le bac à sable d’un terrain de jeu.

Sans prévenir, le petit garçon lâche un pet bien explosif, entraînant une projection de sable entre ses jambes.

La petite fille remarque l’effet produit et couine de rire :
– Comment tu fais ça, demande-t-elle.
– Facile, rigole le petit garçon, J’ai juste fait un prout.
– Est-ce que je peux essayer moi aussi ? demande-t-elle.
– Bien sûr, dit-il, n’importe qui peut le faire.

Et c’est comme ça que la petite fille commence à se concentrer, se crisper, grogner, jusqu’à ce que, soudainement, une explosion terrible fasse s’abattre en même temps les quatre côtés du bac à sable, envoyant tout le sable se répandre au dehors.

Le petit garçon sous l’effet de l’explosion roule en arrière et retombe les quatre fers en l’air.

Quand il se remet debout, il voit que sa petite copine de jeu est allongée sur le dos, les jambes écartées, sans connaissance. Alors, il s’approche d’elle et soulève prudemment sa petite jupe… et là il s’écrie :
– C’est bien ce que je pensais : double échappement !

La blague des cravates de Shabbat

Sarah offre à son fils Salomon deux cravates, une rouge et une bleue. Le vendredi soir suivant, Salomon met la cravate bleue pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère lui demande :
– Salomon, la cravate rouge, tu ne l’aimes pas ?
– Mais si maman, les deux cravates que tu m’as offertes me plaisent beaucoup. Et c’est pour ça que j’en porte une aujourd’hui.

La semaine suivante, Salomon met la cravate rouge pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère lui demande :
– Salomon, la cravate bleue, tu ne l’aimes pas ?
– Mais si maman, les deux cravates que tu m’as offertes me plaisent beaucoup. Et c’est pour ça que j’en porte une aujourd’hui.

La semaine suivante, Salomon met la cravate rouge et la cravate bleue pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère s’exclame :
– Mon fils est devenu fou, il met deux cravates !