Embruns
Perdu au milieu de la foule,
De la tempête des amours,
Perdu il échappe à la houle,
Aux femmes et à tous leurs atours.
De ce qu’il n’a jamais compris
Il recherche pourtant compagnie
Casanova n’a pas appris
Ce pour quoi même on le nie.
Regardant passer les amants
Peut-être comprendra-t-il un jour
Quel est le triste châtiment
De celui qui attends toujours
Lazzi
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