poème séparation

Le P (Promenade)

Le chemin se fait long
Mais bien trop court pourtant
En l’espace d’un instant
Le lieu où nous allons
Se présente à nos yeux
Et bientôt il faudra
Revenir sur nos pas
Et ne plus être deux
Te poursuit mon amour
Mais pour te le prouver
Il me faut éprouver
L’attente d’un autre jour

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Passé

Dans mes yeux tu n’es qu’hologramme
Dans mes mains s’est éteint la flamme
Dans mon cœur où se joue le drame
Il n’y a rien qu’amour pour une femme

Prends mes yeux, ils ne servent à rien
Prends mes mains et fais-en ton bien
Prends mon cœur que déjà tu détiens
Il n’est rien qui ne fusse tien

Dans tes yeux je ne peux rien voir
Dans tes mains il y a mon espoir
Dans ton cœur, dans ta tour d’ivoire
Il n’est rien que je puisse croire

Dans les yeux une larme brûle encore
Dans mes mains la trace de ton corps
Dans mon cœur reste le décor
Ou tu as brisé notre accord

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Une époque

Il était une époque
Où nous étions heureux
Il était une époque
Où nous étions moins vieux
Et maintenant la vie
A donné son avis
Notre amour sa cible
Fut dit impossible
Adieu les jours de liesse
Adieu les corps à corps
Et si de tristesse
Ces quelques mots se parent
C’est que je t’aime encore
Et que tout nous sépare

Depuis longtemps déjà
Tout n’est que souvenir
Depuis longtemps déjà
Tout a pu se finir
Et maintenant la vie
M’a redonné envie
De voir de respirer
De vivre et d’espérer
Voilà un si beau soir
Et une si belle flamme
Si d’un nouvel espoir
Ces mots sont revêtus
C’est que d’une femme
J’ai régalé ma vue

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Mélancolie

Comme une main qui t’effleure
Jolie fleur de mon jardin
Baladin j’ai vu les pleurs
Que tout à l’heure tu retins

Comme un nuage sur tes cils
Au fil de ton visage
Des âges qui défilent
De péril un présage

Comme un flou au fond des yeux
Affluent les adieux du fou
Cœur qui fuit tout ce qu’il veut
Heureux qu’il fût avec vous

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

La faute des hommes

Casanova se joue des cœurs
Casanova a ri des pleurs
Moi je ne veux que ton bonheur
Moi je ne t’ai jamais fait peur

Don Juan des femmes a blessé
Don Juan des femmes a quitté
Moi jamais ne t’ai délaissé
Moi je n’ai jamais hésité

Alors pourquoi peux-tu me dire
Notre romance veux-tu finir
Nous ne sommes pas tous semblables
Egoïstes et méprisables

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.