blague zoophilie

L’amour des truies

C’est l’printemps. Les oiseaux chantent, les plantes sortent de terre et dans la ferme, les animaux semblent tous être en rut.

Rendant visite à son compère le Louis, le père Adolphe est intrigué par ce qu’il entend dans l’étable. On dirait qu’on est en train de tuer un cochon tant ça pousse des cris pas possibles : GRUIK GRUIK GRUIK !!!

Adolphe rentre dans l’étable et voit le Louis, le pantalon sur les chevilles ! Il est en train d’essayer de retourner la truie et « de s’la faire », mais elle ne veut pas, l’animale !

En rigolant du spectacle, le Louis il dit :
– Ho là Adolphe, mais qu’êk tu fais ?! Pourquoi donc tu veux la r’tourner ? Fais donc ça par derrière comme tout l’monde !

Et le Louis il répond :
– Eh, c’est qu’moi, j’aime bien embrasser en même temps !

Médecine pastorale

Un berger qui passait l’été avec son troupeau de brebis à l’alpage descend paniqué dans la vallée et fonce dans le cabinet du médecin. Le docteur lui demande ce qui se passe :
– Docteur, je pense que j’ai attrapé une maladie vénérienne ! lui avoue le berger.
– Bon, nous allons voir ça.

Le médecin lui dit de se déshabiller et l’examine. Quelques minutes plus tard, il dit au berger de se rhabiller.
– Et bien voilà. J’ai trouvé ce que vous aviez, lui dit le docteur. Rassurez-vous, ce n’est pas une maladie vénérienne… Vous êtes simplement devenu allergique à la laine !

Le sauté de veau

Venue passer les vacances à la campagne, une belle étudiante a fait la connaissance d’un jeune fermier timide. Celui-ci bavarde avec elle et la raccompagne au village. Passant devant un champ, il aperçoit une vache qui embrasse le museau de son petit veau.
– Ah ! dit-il, comme j’aimerais en faire autant !
– Qui vous en empêche ? répond la jeune fille. Après tout, ce veau est à vous.

Attention, chien méchant !

Un facteur hésite à entrer dans une villa gardée par un dangereux molosse. Le propriétaire le rassure :
– N’ayez pas peur ! Le chien a été castré !
– Et alors ? J’ai pas peur de ce que vous croyez, j’ai juste peur qu’il me morde !