blague whisky

L’homme trompé comme un chien

Un homme entre dans un bistrot et commande un double whisky.
– Ça me remontera le moral : je viens de trouver ma femme au lit avec mon meilleur ami.
– Ho, le salaud ! Mais il fallait lui casser la gueule !
– C’est fait. Je lui mis un coup de laisse et je l’ai privé de Canigou pendant 3 jours…

Le monstre du Loch Ness

– Je suis allé une fois visiter le Loch Ness, en Ecosse, raconte un grand voyageur. C’était épouvantable.
– Vous avez peut-être vu le fameux monstre ?
– Pire que cela ! Il y avait, au bord du lac, un Ecossais, installé dans une camionnette. Et comme il était le seul, dans un rayon de dix kilomètres, si on voulait boire un whisky , il fallait accepter de le payer au prix qu’il avait fixé : 10 euros.

La valeur de la tribu

Un grand voyageur raconte l’une de ses plus mémorables expéditions.
– Dans une île de l’archipel indonésien, je suis tombé sur une tribu que fascinaient littéralement nos pièces de 2 euros. Je me rappelle que le chef, en échange d’une dizaine de ces pièces, m’avait offert sa fille de seize ans, un troupeau de cochons et une bouteille de leur whisky local. Ce qui m’a marqué, dans cet échange, c’est que, pour le prix, ce n’était pas du tout du mauvais whisky.

Le patient alcoolique

Un médecin tente, avec beaucoup de ménagements, d’expliquer au malade venu le consulter, que la plupart de ses malaises sont dûs à l’absorption trop massive de boissons alcoolisées.
– Vous n’allez tout de même pas me dire que je suis un ivrogne, proteste son patient.
– Pas du tout, fait le médecin, apaisant. Disons simplement, que si j’étais une bouteille de whisky, je n’aimerais pas me trouver une nuit en tête-à-tête avec vous.

Le whisky du Belge

Un Belge rentre dans un bar à Paris. Il s’assied au comptoir.

Le garçon s’approche :
– Qu’est-ce que vous prenez, Monsieur ?

Le Belge :
– Un whisky avec deux glaçons, une fois. Il boit son verre et se dirige vers la sortie.

Le garçon l’appelle :
– Monsieur, vous n’avez pas payé votre consommation…

Le Belge répond :
– Vous m’avez proposé de prendre quelque chose. Je n’ai rien demandé, donc je ne dois pas payer !

Et il sort, laissant le garçon complètement éberlué…. Le garçon raconte l’affaire à ses patrons le soir:
– J’ai deviné à son accent que c’était un Belge. Il est parti sans payer sous prétexte que c’est moi qui lui a demandé à boire !
– Ce n’est pas grave, dit le patron, Demain je tiendrai le bar. S’il revient, il verra à qui il a affaire !

Le lendemain, le patron est au bar. Le belge entre, s’assied au bar et attend. Le patron lui demande ce qu’il désire boire :
– Un whisky avec deux glaçons, une fois, répond le Belge.

Le patron reconnaît l’accent et lui sert son verre. Après avoir bu, le Belge s’en va sans payer. Le patron lui dit :
– Eh, vous, vous n’avez pas payé votre verre !

Le Belge répond :
– Non, c’est vous qui me l’avez proposé. Quand on offre un verre, on ne réclame pas d’argent !

Et il sort, trop rapidement pour que le patron réagisse. Le soir, le patron raconte son infortune à sa femme :
– Ça ne fait rien, dit-elle, Demain, je m’en occupe et je ne me laisserai pas faire…

Le lendemain, la dame est au bar, le belge entre dans l’établissement.
– BONJOUR, fait la dame.
– BONJOUR, une fois, répond le Belge.

La patronne reconnaît le belge en question et décide de se méfier. Elle attend un bon moment, le Belge ne réagit pas. Au bout d’une demi-heure, la patronne n’y tient plus mais fait preuve de finesse :
– Monsieur, désirez-vous passer commande ?, demande-t-elle.

Le Belge répond :
– Un oeuf cuit dur, s’il vous plaît une fois.

Intriguée, la patronne lui donne son oeuf. Le Belge enlève la coquille, prend un couteau et commence à découper l’oeuf en petits cubes, devant les yeux médusés de la patronne.
– Que faites-vous, Monsieur ?, dit-elle très curieuse.
– Eh bien, je suis un fana de pêche, et j’ai mes recettes secrètes… Je mets ces cubes sur l’hameçon à la place d’asticots ou de mouches, répond d’un air entendu le Belge.
– Ah bon, dit la patronne perplexe, Et qu’est-ce que vous prenez avec ça ?
– Un whisky avec deux glaçons, s’il vous plaît !, répond le Belge avec un sourire aux lèvres…