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La blague du perroquet qui voulait du Coca

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Un type avec un perroquet sur l’épaule entre dans un bar et s’adresse au barman :
Le client : « un whisky siou plaît »
Le perroquet : « et un Coca-Cola » (voix criarde)

L’homme sirote son whisky tandis que le perroquet attend toujours son Coca-Cola. Un peu plus tard :
Le client : « un whisky siou plaît »
Le perroquet : « et mon Coca-Cola » (voix criarde)

Encore une fois, le client boit son whisky tandis que le perroquet n’est toujours pas servi. Et le petit jeu continue ainsi une bonne partie de la soirée. A la fin, le barman excédé par la voix criarde du perroquet lui dit :
« Si tu n’arrêtes pas, je te cloue au mur à côté du crucifix. »

Evidemment, le client recommande un whisky et le perroquet réclame un nouvelle fois son Coca-Cola. Le perroquet se retrouve donc, en moins de temps qu’il faut pour le dire, cloué au mur à côté du crucifix.
Alors, le perroquet se retourne vers Jésus sur la croix et lui crie :
« Toi aussi tu as demandé du coca ? »

Le courage de demander une augmentation

– Ça y est, raconte un employé de bureau à sa femme. Comme tu m’incitais à le faire depuis de longs mois, je me suis décidé à aller voir le patron pour lui demander une augmentation. J’avais bu un double whisky pour me donner du courage. J’ai frappé un grand coup à la porte de son bureau.
– Et alors ?
– J’ai eu de la chance : le temps que sa secrétaire vienne ouvrir la porte, j’avais eu le temps de courir pour reprendre ma place, mine de rien, devant mon ordinateur.

Le mouvement incessant du whisky de contrebande

Au temps de la prohibition, aux Etats-Unis, Eliott Ness a été chargé de remettre de l’ordre dans la police. Convoquant ses collaborateurs, il leur déclare :
– J’ai décidé d’arrêter le mouvement incessant du whisky de contrebande…
– Des entrepôts d’Al Capone aux speakeasies de Chicago ?
– Non. De la poche arrière de votre pantalon à vos lèvres.

Le courrier de l’industriel

Un industriel confie à un ami :
– Moi, vous voyez, quand j’ai beaucoup de travail qui s’accumule, du courrier en retard, par exemple, je m’installe, un soir, dans mon bureau avec une bonne bouteille de whisky et, deux heures après, c’est liquidé.
– Votre courrier ?
– Qui pense encore au courrier ? Non : le whisky.