blague whisky

Plus près de toi, mon Dieu

A bord de l’avion qui fait la liaison Paris-New York, un archevêque appelle le steward :
– Donnez-moi un whisky s’il vous plaît !
– Certainement, monseigneur !

Mais il réfléchit et demande :
– Au fait, à quelle altitude sommes-nous actuellement ?
– A 5.000 mètres, monseigneur !
– Ah ? Nous nous rapprochons un peu trop du patron… Vous me servirez plutôt une verveine !

L’amitié relative

Un gars est assis au bar en train de descendre whisky sur whisky.

Un de ses amis arrive et le voit, déjà dans un état d’ébriété avancé, alors que ce n’est pas du tout son habitude.
– Robert, dit l’ami choqué, qu’est-ce que tu fais ? Tu m’as l’air complètement bourré. Je te connais depuis plus de quinze ans et je ne t’ai jamais vu saoul auparavant. Qu’est-ce qui se passe ?

Sans même lever les yeux de son verre, Robert répond :
– Ma femme vient juste de se barrer avec mon meilleur ami.

Et il avale aussitôt un nouveau verre de whisky cul sec !
– Mais, répond l’autre homme, c’est moi ton meilleur ami !

Robert se retourne le regarde alors de ses yeux injectés de sang, et il articule avec difficulté en souriant :
– Ah non, plus maintenant…

La mégalopole sud-africaine du Cap bientôt à sec

Grave pénurie d’eau au Cap : les millionnaires se sentent aussi concernés.

dessin d'actualité montrant un millionnaire se préoccupant de la pénurie d'eau au Cap en Afrique du Sud
6 février 2018 – La mégalopole sud-africaine du Cap bientôt à sec

Millionnaire du Cap : « Je pense que je vais arrêter les glaçons dans le whisky. »
(Dessin du 6 février 2018)

Pendant que nous nous battons pour des pots de Nutella dans une inconscience collective hallucinante, les pires catastrophes climatiques et écologiques engendrées par l’Homme continuent à nous tambouriner sans relâche : dernière en date, une grave pénurie d’eau menace les millions d’habitants de la ville du Cap en Afrique du Sud.

Frappée par une sècheresse encore jamais vue depuis plus d’un siècle, ses réservoirs d’eau seront bientôt vides, au point que les robinets de la ville risquent d’être à sec à compter du 12 avril 2018, baptisé le « jour zéro ».

Les habitants ont été « invités » à n’utiliser que 50 litres d’eau par jour et par personne – en comparaison, un américain en consomme plus de 325 litres par jour – mais aucune autre mesure ne semble être prise par l’agglomération… et c’est bien là le problème.

Tourisme et richesse ne font pas bon ménage avec restriction.
Comment faire pour ne pas déranger les milliers de vacanciers qui viennent profiter des prestations outrageusement luxueuses et consommatrices d’énergies des grands hôtels princiers ?
Et que dire à tous ces millionnaires ayant élu domicile au Cap, qui se prélassent dans leurs piscines gigantesques et somptueuses sans se soucier des autres habitants ?
Malgré la situation alarmante, la ville ne semble pas vouloir bousculer tous ces petits nantis… et du coup, le « jour zéro » ne cesse d’être avancé.

Cette raréfaction de l’eau commence déjà à entraîner des problèmes sanitaires, notamment une forte épidémie de listériose due à une contamination fécale de l’eau consommée.

Duf

Le flacon dans l’estomac

Un radiologue découvre un flacon de whisky dans l’estomac de son patient.
– Comment avez-vous avalé ça ? Et surtout, comment allons-nous le sortir de là ?
– Ne vous tourmentez pas, docteur, répond le patient. Contentez-vous de le déboucher !