blague vulgarité
La blague de la religieuse et du routier
Ce sont des religieuses qui font un pèlerinage à Lourdes. Elles se déplacent en minibus. Au détour d’un départementale, voilà-t-y pas qu’un des pneus du minibus est à plat.
Les nonnes sortent et pensent changer le pneu, mais aucune d’elle ne sait comment faire. Heureusement, un routier qui passait par là s’arrête, et voyant leur détresse, offre ses services. Les religieuses acceptent de bon coeur. Alors que le routier est en train de soulever le minibus avec le cric, celui-ci glisse, laissant le bus retomber par terre. Alors le routier rugit un :
« NOM DE DIEU ! »
La mère supérieure le reprend tout de suite et lui dit :
– Ce ne sont pas des manières de parler ainsi. Vous devriez vous surveiller un peu !
Le routier s’excuse :
– Je suis désolé ma mère
Et il se remet à la tâche. Mais 30 secondes plus tard, rebelote, le cric glisse à nouveau ! et le routier vocifère : « BORDEL DE DIEU DE COUILLE D’OURS ! »
La mère supérieure intervient :
– Si changer la roue de notre minibus vous oblige à proférer de telles vulgarités, nous préférons nous débrouiller seules !
Le routier s’excuse encore :
– Oh ma mère, je suis réellement désolé. Mais je suis un peu énervé par ce cric qui ne veut pas rester fixé sur le sol.
La mère supérieure lui propose alors :
– Si ce cric glisse à nouveau, retenez-vous de proférer des vulgarités, et dites plutôt quelque chose comme « Mon Dieu, aidez-moi ! »
Et le routier réessaye de soulever le minibus, et le cric glisse à nouveau et il commence à dire « NOM DE… » mais il se corrige et dit « OH MON DIEU AIDEZ-MOI ! »
Et à ce moment là, le minibus se soulève tout seul dans les airs. Et les nonnes regardent leur minibus et crient « NOM DE DIEU ! »
Le compte en banque du mec dégueulasse
Un homme mal rasé, avec un survêtement dégueulasse, les cheveux gras et le regard inquiétant entre dans une banque. Il se dirige vers le comptoir et lance à la secrétaire qui se trouve là :
– Je voudrais ouvrir un putain de compte de merde !
La secrétaire lui réplique :
– Ah mais monsieur cela ne vous dispense pas de rester poli !
– Bon écoute pétasse, t’as les oreilles bouchées ou quoi ? Je viens de te dire que je veux ouvrir un putain de compte de merde !
Sur ce la secrétaire appelle le directeur :
– Monsieur le Directeur ? Monsieur le Directeur ? J’ai un petit problème …
Le directeur de la banque arrive et demande :
– Oui ? Que se passe-t-il ?
– C’est ce monsieur qui désire ouvrir un compte dans notre établissement.
L’homme mal rasé lance brutalement :
– Bon écoute le dirlo, je veux juste ouvrir un putain de compte de mes couilles ! C’est pas dur à faire quand même ! Merde alors !
Le directeur impassible :
– Ah mais monsieur il nous faut votre identité, fiches de payes, relevés de gaz et d’électricité, quittance de loyer, etc, etc…
Le gars répond :
– Non mais c’est dingue ! Je viens de gagner 500 millions au LOTO et vous me demandez tout ce bordel !
Le directeur lui réplique :
– Quoi ? Et c’est cette connasse qui vous emmerde ?
Toto le vulgaire
Toto en classe (il lève le doigt) :
– M’dame, je peux aller pisser ?
La maîtresse (patiente) :
– Oui, mais la prochaine fois tâche d’être poli. Tu demanderas à aller aux toilettes.
L’après-midi, Toto lève le doigt pendant la classe :
– M’dame, je peux aller chier ?
La maîtresse (fâchée) :
– Toto, je t’ai expliqué ce matin comment le demander poliment, alors puisque tu ne veux pas comprendre, je vais convoquer tes parents.
Quelques jours plus tard, la mère de Toto se rend à l’école suite à la convocation. L’instit explique le langage grossier de Toto. La mère s’adresse alors à son fils présent, en ces termes :
– Toto, puisque tu n’es pas poli, tu seras privé de dessert. Tu vois j’avais fait une tarte grosse comme mon cul, avec des prunes grosses comme les couilles à ton père… Je veux bien me faire enculer si t’en manges une miette !
Et, se tournant vers l’institutrice, elle rajoute :
– Madame, en tous cas, c’est pas chez moi qu’il apprend tous ces gros mots !
La blague de Toto et des jurons
C’est Toto et son frère Dédé qui sont assis sur le trottoir en train de glander.
Dans leur discussion informelle, ils en viennent à se demander pourquoi les grands ont tellement de plaisir à dire des jurons. Alors, pour en savoir plus, ils décident que le lendemain, Toto dira le mot « putain » alors que Dédé dira le mot « baiser ».
Le lendemain matin, le Papa de Dédé et Toto les appelle pour le petit-déjeuner.
– Toto, qu’est-ce que tu veux comme petit-déj.?
– Je voudrais ces putains de Choco Pops papa !
Evidemment, ça ne loupe pas, Toto se prend une bonne vieille claque derrière la tête.
Puis le père se tourne vers Dédé :
– Et toi Dédé qu’est-ce que tu veux ?
– Eh ben moi je prendrai pas les Choco Pops, j’ai pas envie de me faire baiser comme Toto !