blague vulgarité

Les maçons et la religieuse

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Il y avait un immeuble en construction juste à côté d’un couvent de carmélites.

Une vieille religieuse avait remarqué au cours de ses promenades dans la cour du couvent, que le langage des ouvriers n’était pas vraiment châtié et qu’il se rapprochait même le plus souvent de l’ordurier.

Se disant qu’il lui suffirait de passer quelques temps avec eux pour corriger leurs habitudes, elle entreprit de les retrouver pour la pause déjeuner, elle prendrait alors son repas avec eux.

Aux environs de midi, elle approcha du groupe des maçons avec un grand sourire et leur dit :
« Est-ce que l’un de vous connaît Jésus ? »

Se regardant les uns les autres et s’interrogeant du regard, personne ne semblait connaître Jésus. Un des ouvriers cria alors en direction du groupe des charpentiers qui mangeait plus loin :
« Hé les gars, y a quelqu’un connaît un ‘Jésus’ ? »

Un des gars demande alors pourquoi. Et le maçon répond :
« Y’a sa femme qui est ici avec son déjeuner. »

La blague du perroquet dans l’avion

C’est dans un avion, un mec se retrouve à côté d’un perroquet. Un peu interloqué, il fait comme si de rien n’était. En vol, l’hôtesse arrive pour les boissons. Le mec lui dit :
– Un café s’il vous plaît.

Et à côté de lui, il a la surprise d’entendre le perroquet dire :
– Un whisky pétasse et que ça saute !

Les deux humains sont un peu ahuris, mais un client est un client, tant et si bien que l’hôtesse rapporte un whisky mais, un peu désorientée, oublie le café. L’homme lui fait remarquer et le perroquet rajoute :
– Un deuxième whisky pouffiasse, tu me rempliras plus le verre et tu feras fissa !

Bon, l’hôtesse commence à le trouver lourd mais ramène le 2ème whisky… en oubliant le café. Alors le mec se dit qu’il va employer la méthode de son voisin et dit :
– T’as encore oublié mon café grosse conne !

Et le perroquet de rajouter :
– J’avais dit plus rempli le verre ! Apporte m’en un autre si tu veux pas que je te cogne !

Là l’hôtesse en a carrément marre : Elle appelle les stewards et les pilotes qui arrivent et jettent les deux passagers malpolis hors de l’avion.

Dans les airs, le perroquet dit alors à l’homme :
– Dis donc, tu te permets un drôle de langage pour quelqu’un qui n’a pas d’aile.

Des peintres dans le couvent

Dans un couvent, la contemplation des bonnes sœurs se trouve soudain perturbée par l’arrivée d’une équipe de peintres en bâtiment. Ceux-ci doivent travailler pendant plusieurs mois à l’intérieur du cloître.

Quelques jours après le début des travaux, la mère Supérieure appelle le chef de l’entreprise pour se plaindre :
– Vos employés utilisent un langage incompatible avec les manières de notre communauté. Je compte sur vous pour leur demander d’arrêter de parler vulgairement et de jurer à tout bout de champ !

Le patron répond :
– Très bien ma Sœur, mais vous devez essayer de comprendre que depuis qu’ils travaillent ensemble, ils ont pris de mauvaises habitudes, et même s’ils essaient de parler avec tact, ils appellent souvent un chat un chat !

Alors la religieuse lui rétorque :
– En l’occurrence l’expression qu’ils auraient plutôt tendance à employer est : « Putain quelle minette ! »

La blague du perroquet qui parlait trop

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Devant partir en voyage pour une dizaine de jours, un mec va voir son pote et lui confie son perroquet.
– Fais gaffe hein ? tu lui donnes bien à manger et tu le soignes !
– Pas de problème.

Mais le volatile est un sacré parleur, jour et nuit le pote a droit à la sérénade : « coco, coco, salut, …. ».
Au bout de quelques jours il va chez le véto et lui demande un moyen pour empêcher le perroquet d’ouvrir sa gueule. Il rentre donc chez lui avec un traitement : chaque fois que la bestiole l’ouvre, lui mettre un suppositoire dans le derrière.

Voilà t’y pas que le perroquet pousse un magnifique « coco ». Hop, le gars lui mets un suppo. Et encore, et encore, et encore.

Au bout de deux jours, silence ! Fini, plus de « coco » ou de « salut ».

Finalement le propriétaire rentre et va chez son pote pour récupérer sa bestiole.
– Salut, alors ça c’est bien passé ?
– Ouais, ouais, sans problème. Tu veux un café ?
– S’il te plaît, merci.

Pendant que son pote va à la cuisine, il s’approche de son perroquet et lui dit :
– Alors, ça boume ? c’était cool ?

Et le perroquet de répondre dans un murmure :
– Chut ! Pas si fort, ici quand tu parles on t’encule !