blague viol

La blague du juré assoupi

Lors d’un procès pour viol, le procureur demande à la victime de lui répéter très exactement les paroles prononcées par son agresseur.
– Je ne peux pas, fait la malheureuse en rougissant. Je n’oserai jamais les répéter en public…
– Alors écrivez-les, dit le procureur.

La jeune femme accepte et griffonne quelques mots sur une page de carnet. Le procureur y jette un coup d’œil, passe la feuille au juge, qui demande aux jurés de la lire les uns après les autres.

L’un des jurés, qui s’était assoupi est ainsi réveillé par sa voisine, qui lui tend la feuille de papier. Le type se secoue, met ses lunettes et lit :
« Tous les deux, on va s’envoyer en l’air comme des animaux. »

Le juré, surpris, se tourne vers sa voisine, lui sourit, et met la page dans sa poche.
– Juré n°7 ! dit le juge. Pouvez-vous faire circuler cette feuille ?
– Oh non, monsieur le juge, répond le type en souriant. C’est trop personnel !

Tournante indienne

Dans l’Ouest américain, un convoi de pionniers est attaqué par les Indiens. Tous les hommes sont tués, et seule une jeune et jolie femme est épargnée. Hélas, elle s’aperçoit rapidement que les Indiens ne lui ont laissé la vie sauve que pour abuser d’elle…

Les uns après les autres, les Indiens lui font subir les derniers outrages, et la malheureuse est épuisée. Chaque fois qu’elle croit son calvaire terminé, un autre Indien se présente… Jusqu’au moment où elle voit qu’il n’en reste plus qu’un.
– Enfin, dit-elle dans un soupir. Le dernier des Mohicans !

Le déshonneur du lâche

Une bande de voyous arrête une voiture en pleine campagne et dévalise le couple de touristes qui s’y trouvait.

Ils volent, pillent et massacrent tout. Puis le chef de la bande dit à l’homme :
– Toi, va te mettre face à cet arbre et n’en bouge plus, ou tu es un homme mort !

Et ils emmènent avec eux la femme. Deux heures plus tard, le chef revient et dit :
– Tiens, je te ramène ta femme, je n’en ai plus besoin. Je l’ai déshonorée. Et il s’en va. La femme, furieuse, insulte son mari :
– Espèce de lâche ! Tu les as laissés faire ! Tu n’as même pas essayé de me défendre !
– Ma chérie, tu n’étais pas là, tu n’as rien pu voir, mais quand j’étais devant l’arbre, je me suis retourné trois fois !

Le viol policier

Un agent de police passe un examen pour accéder à un grade supérieur :
– Une fille vient de se faire violer. Que faites-vous ? lui demande l’examinateur.
– Je procède immédiatement à une reconstitution, répond le candidat…

Viols de Mazan

Gisèle Pélicot : « Ça me ferait mal au cul s’ils n’étaient pas condamnés ! »
(Caricature Gisèle Pélicot – Dessin du 7 septembre 2024)