blague vieillard
Les dernières volontés du monsieur très riche
Un monsieur très riche a appelé son notaire sur son lit de mort car au dernier moment, il veut changer ses dernières volontés…
– Je veux laisser tout ce que je possède, actions, titres de propriétés, immeubles et tableaux de maîtres, je veux tout laisser à ma femme, mais avec une condition…
– Et quelle est elle ? demande le notaire.
– Si elle veut tout hériter de moi, ma femme doit se remarier dans les six mois qui suivent ma mort !
Le notaire est assez désabusé par la condition demandée par son client, et il demande :
– C’est assez inhabituel comme condition. Vous avez une explication pour cela ?
– Oh oui ! C’est parce que de cette façon, je suis sûr qu’au moins une personne regrettera ma mort.
Alors le notaire commence à rédiger le nouvel acte… Et puis le mourant l’interrompt pour lui faire une recommandation de plus :
– Dans mes dernières volontés, ajoutez que je veux être incinéré et qu’ensuite mes cendres soient dispersées dans la mer.
Le notaire à qui on ne la fait pas demande tout de suite pourquoi, et le vieux répond :
– C’est juste pour le cas où ma femme voudrait faire ce qu’elle a toujours dit qu’elle ferait à ma mort… danser sur ma tombe.
La perte de mémoire chez les trois vieillards
Dans un hôpital, au service de gériatrie, un médecin mène une expérimentation sur la perte de mémoire auprès de trois vieillards.
Il demande au premier :
– Combien font trois fois trois ?
Le vieillard répond :
– 156.
Le docteur demande au second :
– Combien font trois fois trois ?
Le deuxième vieillard répond :
– Mardi.
Le docteur demande alors au troisième :
– Combien font trois fois trois ?
Le troisième vieillard répond :
– Neuf.
Le docteur, heureux qu’au moins un de ses patients ait la réponse juste demande :
– Et comment êtes-vous parvenu à ce résultat ?
– Simple… J’ai ajouté Mardi à 156, j’ai divisé par 2 et j’ai obtenu 9…
La sexualité à 85 ans
C’est un monsieur de 85 ans qui se fait examiner par son médecin. Tout est OK, mais avant de partir, le médecin lui demande :
– Et la sexualité, M. Durand ?
– Ah, la sexualité ça va, mais quand je fais l’amour la deuxième fois, je suis en sueur.
– Quoi, vous avez 85 ans et vous me dites que vous êtes en sueur la deuxième fois que vous faites l’amour ! Mais ça ne vous semble pas un peu normal ?
– À bien y penser oui, c’est vrai qu’il fait plutôt frais en Janvier et plutôt chaud en Juillet.