blague vengeance

Se venger d’un taxi par une blague

blague métiers, blague taxis, blague fellations, blague vengeance, blague pipe, blague chauffeur de taxi, blague arnaque, humour drôle

Un homme d’affaire américain prend l’avion pour aller jouer à la roulette pendant le week-end à Las Vegas.

Il perd sa chemise le samedi soir et n’a plus que cinq cents en poche et son billet de retour pour rentrer chez lui. Malheureusement, il lui faut aller à l’aéroport pour rentrer chez lui…

Alors il va vers le chauffeur de taxi qui attend devant le casino et lui explique sa situation. Il promet d’expédier l’argent au chauffeur depuis chez lui, une fois qu’il sera rentré. Il lui propose même de garder son permis de conduire en gage… mais le chauffeur de taxi est intraitable :
« Si vous n’avez pas les 15 dollars de la course jusqu’à l’aéroport, sortez de mon taxi ! »
Alors l’homme d’affaire descend du taxi et commence à faire du stop pour aller jusqu’à l’aéroport. Naturellement, il rate son avion…

Une année plus tard, l’homme d’affaires est de retour à Las Vegas dans le même casino. Cette fois-ci, il a beaucoup gagné. Et lorsque vient le moment de prendre le chemin de l’aéroport, il s’avance vers la queue de taxis… et qui voit-il en dernière position dans la file de taxis ? Son « ami » qui l’avait envoyé paître l’année précédente !

Alors il lui vient une idée. Il s’avance vers le taxi en tête de station et demande au chauffeur :
– Combien pour une course jusqu’à l’aéroport ?
– 15 dollars.
– Et combien en plus si je vous demande de me faire une pipe avant d’arriver là-bas ?
– Quoi !? Va te faire foutre connard !

Ensuite l’homme d’affaire fait le second chauffeur de taxi, avec les mêmes questions, et obtient les mêmes réponses… et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’il arrive au dernier taxi, celui de son ami intraitable.

A ce moment là, il monte à l’arrière du taxi et dit :
– Combien pour une course jusqu’à l’aéroport ?
– 15 dollars.
– C’est d’accord, répond l’homme d’affaires.
Et le taxi démarre…

Au moment où ils sont en train de doubler toute la file de taxis, l’homme d’affaires se met à la fenêtre du taxi, et regarde chaque chauffeur de taxi de la queue avec un grand sourire aux lèvres en faisant le signe du pouce levé !

L’apprentissage de la douleur

Toto, cinq ans, est en train de jouer avec Nini, deux ans, sa soeur.

Soudain, Toto se précipite dans la cuisine où sa maman prépare à manger en hurlant. Sa mère s’inquiète et lui demande :
– Qu’est-ce qui se passe Toto ?
– C’est Nini qui m’a tiré les cheveux !
– Il ne faut pas en vouloir à ta petite soeur, elle ne sait pas que ça fait mal.

Toto repart jouer. Un peu plus tard, des pleurs (ceux de Nini cette fois) émanent du salon. La maman va voir ce qui se passe, et tout de suite Toto lui dit :
– Maintenant elle sait !

Le gars qui au zoo file…

C’est l’histoire de ce gars qui s’en va un jour au zoo pour passer le temps.

Alors qu’il reste pensif devant l’enclos du gorille, un coup de vent vient balayer le sol et il se retrouve avec de la poussière dans l’œil.

Le gars tire sa paupière inférieure vers le bas pour essayer de déloger le grain de sable… Cependant, au moment où il fait ce geste, dans la cage, le gorille devient fou, s’accroche aux barreaux du dessus, se balance jusqu’à arriver en un instant à portée de bras du gars, et aussitôt, il l’agrippe et le secoue comme un prunier contre les barreaux de la cage. Finalement, il le lâche par terre et le gars tombe, inconscient.

Lorsque le gars retrouve ses esprits, le gardien du zoo est penché au dessus de lui et aussitôt, lui demande ce qui lui est arrivé. Le gars raconte tout depuis le début : le coup de vent, la poussière dans l’oeil, ses manoeuvres pour se débarrasser du grain de sable, et finalement, le gorille qui devient fou.

Alors le gardien du zoo acquiesce en signe de compréhension et lui répond :
– Le geste que vous avez fait, de tirer votre paupière vers le bas comme si vous faisiez « Mon œil », en langage Gorille, ça veut dire « Va te faire enculer » ! C’est la raison de votre agression…

Mais le gars ne se satisfait pas de la réponse du gardien de zoo, et il veut sa revanche. Et après réflexion, il met au point un plan diabolique reposant sur la propension des singes à imiter tout ce que l’on fait devant eux.

Aussi, le lendemain, il passe acheter deux chapeaux en papier et des langues de belle-mère, il prend aussi deux grands couteaux dans sa cuisine et une saucisse dans son Frigidaire, et il revient au zoo.
Il se met la saucisse dans la pantalon, puis il vient se placer devant la cage du gorille, et il balance un des deux chapeaux, une des deux langues de belle-mère, et un des couteaux dans la cage.

Ensuite, il se met le chapeau sur la tête.
… et le gorille l’imite en se mettant le chapeau sur la tête.

Puis il prend la langue de belle-mère et souffle dedans
… et le gorille souffle lui aussi dans la langue de belle-mère.

Enfin, le gars prend son couteau, ouvre sa braguette et sort une partie
de la saucisse et la tranche d’un coup sec !
… et le gorille regarde fixement le couteau, puis il regarde ses parties génitales, puis il lui fait un bras d’honneur.

La vengeance du mari trompé

– Tu sais, mon grand chéri, dit la femme d’un représentant de commerce à son jeune amant, quand mon mari m’a téléphoné, hier soir, pour me dire qu’il rentrait ce soir, je n’ai pas pu m’empêcher : je lui ai tout avoué de nos relations.
– Et alors ?
– Il a été ravi en entendant citer ton nom.
– Vraiment ?
– Comprends-le. C’est la première fois qu’il va avoir affaire, au moment de se venger, à un homme nettement moins fort que lui.

Les courses solitaires à Kiabi

Kiabi. Un samedi après-midi. Alors qu’elle fouille dans son sac à la recherche de sa carte de crédit, une femme fait tomber une télécommande de télévision. La caissière regarde la femme bizarrement et lui demande :
– Vous trimbalez souvent votre télécommande dans votre sac ?

La femme :
– Non ; en fait, mon mari n’a pas voulu m’accompagner pour faire les courses avec les enfants. J’ai trouvé que ce serait une bonne petite vengeance personnelle…