blague vélo

Prends-moi toute entière

C’est l’été et dans la campagne, on est en pleine moisson. Dans les champs, le fils Mastard et le fils Wasclez discutent tout en ramassant les bottes de paille.

Le fils Mastard raconte :
– Tu sais, la semaine dernière, une magnifique jeune femme est passée devant la ferme à vélo. Elle avait un pneu de crevé. Alors, je lui ai réparé, et une fois la roue remontée, pour me remercier, elle s’est approchée de moi, elle a retiré sa petite culotte, et elle m’a dit : « Vas-y ! Prends, prends tout ce que tu veux ! »

Et le fils Wasclez lui demande :
– Et alors, t’a fais quoi ?
– Ben, j’ai pris son vélo… Qu’est-ce que tu voulais que j’en fasse de sa culotte ?

Les alsaciens à vélo

C’est l’histoire de Joss et de Hans, deux Alsaciens. Ils font du « félo » dans la côte de Munster. Soudain, Joss, qui est derrière, dit à Hans (qui est devant) :
– Hans, tu as le garde-boue qui claque !
– Hein ? Que dis tu ?
– Hans, tu as le garde-boue qui claque !
– Hein ? Quoi ? J’entends rien !
– Je te dis que tu as le garde-boue qui claque !
– Parle plus fort, j’entends rien, j’ai le garde-boue qui claque !

(à raconter avec l’accent alsacien)

La blague du pygmée à vélo

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Un missionnaire belge vient de passer plusieurs années dans la jungle africaine, essayant d’apprendre aux pygmées à cultiver et construire, lorsque ses autorités religieuses l’informent que sa mission est terminée et qu’il est temps de rentrer.

À ce moment, il se rend compte qu’il n’a jamais cherché à apprendre une autre langue aux autochtones : il a toujours communiqué avec eux dans leur langue. Cherchant à combler cette lacune, il décide d’enseigner rapidement la langue française à toute la tribu, et il commence par le chef.

Le missionnaire lui montre un arbre « ceci est un arbre ».

Le chef regarde l’arbre et grogne « ARBRE ».

Ils marchent un peu plus loin, et le curé lui montre le fleuve « Ceci est un fleuve ».

Le chef regarde l’eau qui coule et grogne « FLEUVE ».

Le prêtre est vraiment content du résultat car le chef semble apprendre très très vite la langue française. Mais soudain on entend un bruissement dans les buissons. Le prêtre, se mettant sur la pointe des pieds, aperçoit une femme et un homme, nus, en train de faire l’amour.

Alors le missionnaire, encore coincé dans un puritanisme inculqué lors de ses années passées au séminaire dit au chef pygmée en rougissant « Ils font du vélo ».

Le chef, trop petit pour voir ce dont il s’agit, fait le tour du buisson pour se rendre compte, et voyant la scène de plus près, il prend sa lance et transperce tour à tour les corps de chacun des deux amoureux !

Voyant le carnage, le missionnaire se met à crier, rempli du désespoir de n’avoir pas su donner une morale, des principes, les bases d’une vie civilisée à ses pygmées. Il engueule le chef dans sa langue natale :
– J’ai passé tant d’années à vous enseigner ce qu’était la vie civilisée. Je pensais avoir réussi, mais ton acte me prouve que rien de ce que je vous ai enseigné n’a porté ses fruits ! Peux-tu me dire pourquoi tu as tué cette femme et cet homme de sang froid ?

Et le chef répond en pointant son index sur sa poitrine :
– MON VÉLO !