blague vantardise
Le joyeux luron du bar et le chevreuil
Michel, le joyeux luron du bar entre et raconte son histoire :
– Oh putain les gars ! Vous savez pas ce qui m’est arrivé hier ? je suis allé à la chasse et là qu’est-ce que je vois ?
– Qu’est-ce que tu vois ?
– Un chevreuil con ! J’étais vachement loin, mais je vise, je tire et PAN ! Le chevreuil, mort. Du premier coup. Je m’approche pour le ramasser, oh putain ! Il était grand comme un cheval ! Je me dis que je vais quand même en ramener un petit bout. Je découpe une cuisse avec mon Laguiole, je la mets sur mon épaule, le fusil sur l’autre épaule et je repars. Et un peu plus loin, je tombe sur un autre chevreuil ! Je pose la cuisse, je prends mon fusil, je tire et PAN ! Du premier coup ! Je m’approche, il était encore plus grand que l’autre ! Je découpe une cuisse, je mets une cuisse sur chaque épaule…
À ce moment là, un client entre dans le bar et dit :
– Oh Michel ! Tu as garé ta voiture en double file, il y a un flic qui est en train de te l’aligner !
– Oh putain con ! Attendez-moi les mecs je reviens tout de suite !
Il sort, va voir l’agent, discute pendant cinq minutes avec lui, réussit à faire annuler la contravention, gare correctement sa voiture, et revient dans le troquet où il demande un pastis pour se remettre de ses émotions. Un client lui tape sur l’épaule et lui demande :
– Oh Michel ! Et ton histoire ?
– Quelle histoire ?
– Celle que tu racontais tout à l’heure, tu avais une cuisse sur chaque épaule…
– Ah oui ! J’avais une cuisse sur chaque épaule… Et je la baisais, je la baisais je la baisais…
Accusé de viol
C’est Maurice Benichou, commerçant juif du sentier, qui est accusé d’avoir violé Mlle Dupponnay, sa secrétaire.
Le jour du procès, il se ramène avec tous ses potes du sentier pour l’encourager à l’audience. Alors Maurice il est tout fier, il met les bagues, la chaîne en or etc..
Le procès commence, et le juge lui demande :
– Mr Benichou, connaissez-vous Mlle Dupponnay ici présente, qui vous accuse de l’avoir violée ?
Et Maurice tout fier en se retournant vers ses potes :
– Comment si j’la connais ? J’l’ai même niquée !