blague valise

La puce à l’oreille

Un douanier vient demander conseil à son supérieur :
– Chef, j’ai dans mon bureau un individu que je suspecte de faire du trafic. Sa valise me parait louche.
– Eh bien, ouvrez-là, si vous voulez en avoir le cœur net ! dit le chef.
– Je me rends tout à fait compte que c’est ce que je devrais faire ! Mais voilà, j’hésite, répond le douanier, perplexe.
– Et pourquoi donc ? demande le chef.
– C’est que l’individu en question me nargue en me disant : Je suis dresseur de puces savantes, et tout ce que contient cette valise, ce sont mes 200 pensionnaires.

La ruine oculaire

Une femme rentre de voyage et retrouve sa maison totalement vide. Elle se précipite vers son mari et lui demande :
– Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Où sont les meubles, les objets, les vêtements ?
– J’ai tout vendu…
– Tu as tout vendu, mais comment ça ? Et où est l’argent ?
– Dans les valises !
– Mais où sont-elles, ces valises ?
– Sous mes yeux !

La resquille écossaise

Dans un train en Écosse, le contrôleur est en train de vérifier les billets des personnes assises dans les wagons en première classe.

Il en est presque au bout du wagon, lorsqu’il tombe sur un resquilleur :
– Dites-moi, monsieur, votre billet est un billet de seconde classe, avec tarif spécial pour militaires… Or vous n’êtes pas militaire et vous êtes dans un wagon de première : il va vous falloir régler deux amendes ainsi que la différence avec le billet au tarif normal !

Mais l’Écossais resquilleur ne l’entend pas de cette oreille : il hurle, se débat, insulte le contrôleur… À tel point que le contrôleur sort de ses gonds, empoigne la valise du gars et la jette par la fenêtre du train !

Alors l’Écossais resquilleur lui dit :
– Mais vous êtes fou ? ! Vous voulez que je paie une amende et maintenant vous jetez mon fils par la fenêtre !

L’embarquement réussi

Un monsieur arrive en courant et se précipite vers un superbe paquebot. Dans chaque main, il a une valise. Il court, il court. Le bateau n’est plus qu’à deux mètres du quai. Il lance ses deux valises, fait un saut formidable et se retrouve sur le pont. Deux matelots se précipitent pour le relever. Il saigne, il est essoufflé, mais il triomphe :
– Je l’ai eu le bateau !
– C’est certain, mais vous pouviez attendre encore un peu… nous arrivons juste à quai !