blague tunnel

Le terrier des Parisiens

Un Parisien et son fils se promènent à la campagne. C’est la première fois que le bambin voit la nature, et il ne cesse de poser des questions, auxquelles son père répond au petit bonheur.
– Et ça, papa, c’est un trou de quoi ? dit le garçon.
– C’est un terrier, mon fils.
– Un terrier de quoi, papa ?
– Je ne sais pas. Mets-toi à quatre pattes devant et aboie, tu verras bien ce qui en sort…

Le petit garçon se met à quatre pattes, aboie, et un lapin sort du terrier en détalant.
– Eh bien voilà, dit le père. C’était un terrier de lapin…

Un peu plus loin, ils trouvent un autre trou, de plus grande taille.
– Et ça, papa, c’est un trou de quoi ? redemande le garçon.
– Mets-toi à quatre pattes devant et aboie, tu verras bien ce qui en sort, répond à nouveau le père.

Le petit garçon recommence son manège et c’est cette fois un blaireau qui sort du trou.
– Eh bien voilà, dit le père. C’était un repaire de blaireau.

Encore un peu plus loin ils trouvent un troisième trou, encore plus gros.
– Et ça, papa, c’est un trou de quoi ?
– À quatre pattes, aboie ! fait le père, un peu las.

Mais cette fois-ci, rien ne sort.
– Tu n’aboies pas assez fort, dit le père. Attends, je vais t’aider.

Le lendemain, le père se réveille à l’hôpital. Il tourne la tête et aperçoit son fils dans le lit voisin, en aussi mauvais état que lui- même.
– Eh bien voilà, articule-t-il péniblement. C’était un tunnel de chemin de fer…

L’interrogation ferroviaire

Deux Belges s’interrogent dans un train.
– Je n’aurais jamais cru que ce tunnel soit aussi long, lance l’un d’eux.
– C’est normal, lui réplique l’autre. C’est parce que nous sommes dans le dernier wagon.

Toto et les tunnels

Dans le train, Toto s’étonne :
– Il est fort ce conducteur !
– Pourquoi ? demande alors son père.
– Je ne sais pas comment il fait pour viser les tunnels, mais il ne les rate jamais ! »

Le long tunnel

Un couple de jeunes mariés est dans le train qui passe sous un tunnel. À la sortie, le mari confie à l’oreille de sa femme :
– Si j’avais su qu’il était aussi long, j’en aurais profité pour te faire un petit crac-crac !
– Ah ? C’était pas toi alors !