En Amazonie, un bûcheron nouvellement engagé se voit remettre par le chef de travaux, une tronçonneuse à essence et une hache. – La tronçonneuse, lui explique son chef, c’est pour couper les arbres. – Et la hache, à quoi est-elle censée servir ? – À te défouler en détruisant la tronçonneuse quand elle refusera de démarrer.
Simone Weber, alias « la Tronçonneuse », accusée d’avoir proprement, presque méticuleusement, découpé en rondelles son tendre et cher époux, entre deux potages conjugaux, sur la table de la cuisine, dans leur appartement nancéien, demande à l’audience au président qu’on lui pardonne « son naturel un peu tranchant »…
Un belge (riche propriétaire terrien) ayant besoin d’une tronçonneuse va chez un vendeur en motoculture.
Le vendeur, sûr de lui, garantit à notre homme l’abattage de 6 arbres à l’heure grâce à cette tronçonneuse révolutionnaire, lame en titane, chaîne en acier trempé, double arbre à cames en tête, pot chromé, etc, etc … Satisfait ou remboursé !
Dix jours plus tard, un homme rouge de colère revient voir le vendeur en l’enjoignant de rembourser IMMÉDIATEMENT cette %#$%@$#@$% de tronçonneuse. – Comment !? s’exclame le vendeur, vous n’êtes pas satisfait ? – De la camelote je te dis, répond le belge. Je me suis ruiné la santé pour abattre UN arbre en une journée !. Rembourse-moi comme promis ! – Un arbre ? En un jour ? Ce n’est pas possible ! dit le vendeur, celle-ci doit avoir un défaut ! Laissez-moi voir ça…
À ces mots le vendeur tire sur le lanceur et la tronçonneuse répond immédiatement par un rugissement tout à fait impressionnant.
Le belge : – Attendez, une fois, c’est quoi ce bruit ?