blague tribunaux
La pitié de l’empoisonneuse de mari
Une dame qui, après 30 ans de vie commune, a empoisonné son mari en mettant de l’arsenic dans son café est interrogée par le procureur lors de son procès :
« Mais enfin madame, lorsque vous avez commis votre crime, vous n’avez à aucun moment éprouvé une quelconque pitié pour votre mari ? »
L’accusée lui répond :
« En fait, si. Quand il m’a demandé de lui resservir une tasse. »
Le procès de l’homme qui avait tué sa belle-mère
– J’ai fait citer votre femme comme témoin, dit un avocat à son client, accusé d’avoir tué sa belle-mère. Je suis à peu près certain de votre acquittement à une condition toutefois : que votre femme pleure devant le jury.
– Si vous voulez que ma femme pleure, répond le pauvre homme, sans illusion, dites-lui que je vais être acquitté.