blague transatlantique

Le naufrage britannique

Le capitaine d’un transatlantique est convoqué d’urgence par son officier de quart, qui lui désigne au loin sur la mer une minuscule tache de couleur. Le capitaine saisit ses jumelles et distingue un canot pneumatique dérivant sur les flots. Aussitôt, il fait mettre en panne, ordonne qu’on mette une chaloupe à la mer et qu’on aille recueillir le naufragé.

La chaloupe se rapproche de l’embarcation de fortune et le marin qui la commande distingue bientôt un drapeau britannique hissé en haut d’un mât improvisé, sous lequel se tient un homme seul, qui regarde avec flegme le canot avancer vers lui. Saisissant un porte- voix, le marin lui crie :
– Ohé ! Vous êtes naufragé ?
– Oui, répond l’Anglais très calmement. Pourquoi ?

La blague de l’arnaque au bateau

Une touriste américaine est coincée en France après l’expiration de son visa. Sans argent, sans papiers, elle se demande comment elle pourra un jour regagner les États-Unis, lorsqu’elle rencontre un marin qui accepte de la prendre à son bord et de lui faire traverser clandestinement l’Atlantique… en échange de quelques faveurs.

La jeune fille accepte et, par une nuit sans lune, se glisse dans la cale. Le lendemain matin, le bateau prend la mer.

La traversée est longue, mais le marin vient lui apporter de quoi boire et manger, midi et soir… toujours en échange de quelques faveurs. Finalement, le capitaine du navire s’aperçoit du petit manège et descend dans la cale, où il trouve la jeune fille. Celle-ci, en larmes, lui raconte aussitôt toute l’histoire.
– Pas bête, comme idée, de la part de mon matelot, dit pensivement le capitaine. Mais ce qu’il a oublié de vous préciser, mademoiselle, c’est que vous ne vous trouvez pas à bord d’un transatlantique, mais du ferry de Belle-Île…

Le punch géant

Le commandant du plus grand transatlantique du monde dit à un de ses subordonnés :
– Pour la soirée de Noël, j’ai l’intention de servir du punch à tous nos passagers. Voici ce que vous allez faire : versez dans la piscine des premières classes vingt tonneaux de rhum et, à mon signal, faites flamber.