blague trafiquant

La malchance du trafiquant

Un trafiquant de drogue essaie de passer en douce une valise bourrée de haschich à la frontière. Manque de chance pour lui, le douanier l’arrête et lui fait ouvrir son bagage.
– Sacré nom ! jure le brave gabelou en découvrant le chargement. Mon ami, votre compte est bon !
– Eh oui, dit le trafiquant en sortant de sa poche une cigarette. Vous avez été plus fort que moi. Rien à dire… Vous avez du feu ?
– Ah, non, fait le douanier.
– Bon, eh bien ne bougez pas, je vais en chercher au tabac du coin et je reviens.
Et il plante là le douanier, qui bien sûr ne le verra jamais revenir.

Mais ce trafiquant a décidément de la malchance. Un an plus tard, alors qu’il passe en fraude un nouveau chargement à un autre poste frontière, il retombe justement sur son douanier, qui a été muté.
– Cette fois je vous tiens, mon gaillard ! Et vous ne m’aurez plus comme la dernière fois ! Ouvrez votre valise…
– Pas la peine, répond le trafiquant d’un air navré. Vous êtes le plus fort, vous m’avez eu. Vous avez du feu ?
– Oh là, attention ! Vous m’avez déjà fait le coup une fois, mais maintenant j’ai compris ! Restez là avec votre valise. Cette fois, c’est moi qui irai chercher le feu !

La pilule passe mal

Le Brigadier dit « crotte » aux dealers.
« – Hé ! Tu veux des pilules ? Hé ! tu veux des pil… ?!
– Et toi ? Tu veux des pralines ? »
Heu fiou momente léteur…
« Monsieur, il faut prendre vos pilules. »
(Caricature dealeur – Dessin du 6 juin 2024)

Les bienfaits de la drogue

Les perles : la justice

La fréquentation des cours et tribunaux réserve parfois quelques belles surprises. C’est le cas de ce prévenu, jugé pour un trafic de drogue, qui assure que l’héroïne a soigné son zona. Le tribunal goûte avec humour cette délocalisation momentanée des Entretiens de Bichat. Mais plus étonnante est la confidence de cet autre trafiquant qui ose affirmer que la consommation de cocaïne lui a permis d’accroître considérablement ses performances sexuelles :
– Oui, monsieur, le juge, lance le prévenu, gestuelle délicate à l’appui, un peu de cocaïne et je peux tenir six heures durant !

Et son avocat, du tac au tac, dans un élan d’humilité virile, de glisser à l’oreille du magistrat :
– Pouah ! Cela ne vaut guère le coup ! On ne gagne jamais qu’un petit quart d’heure !