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La blague de l’air conditionné

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Dans un restaurant parisien, un touriste américain appelle le garçon :
– On étouffe, ici ! Mettez donc en marche l’air conditionné.
– Bien, monsieur.

Dix minutes plus tard, le touriste dit au garçon :
– On gèle, ici ! Arrêtez un peu l’air conditionné.
– Bien, monsieur.

Un quart d’heure se passe :
– Garçon ! C’est une véritable fournaise. Remettez en marche l’air conditionné.
– Bien, monsieur.

Un autre touriste, assis à une table voisine, dit au garçon :
– Vous avez une drôle de patience avec ce genre de loustic.
– Oh ! Vous savez, répond le garçon, l’essentiel est qu’il soit content. Parce qu’entre nous, nous ne l’avons pas encore fait installer, l’air conditionné.

Se repérer dans une ville de province

Fraîchement débarqué dans une ville de province, un touriste, complètement perdu, aperçoit enfin un plan sur lequel un point rouge signale :
« Vous êtes ici. »

Juste en dessous, quelqu’un a collé un papier avec ce commentaire :
« Et si vous comptez sur les cons du pays pour vous indiquer votre chemin, vous risquez d’y être pour longtemps. »

Le mur des lamentations

Un touriste en visite en Israël se renseigne dans la rue pour savoir où se trouve le Mur des Lamentations. Il baragouine bien un peu d’hébreu, mais il a oublié l’expression. Il arrête un passant et lui demande :
– Où est donc cet endroit, où on va pour pleurer, et où on écrit ses désirs sur un petit bout de papier.?

Et l’Israélien de lui indiquer la direction :
– Vous voulez parler du percepteur ? C’est par là !

Le cafetier belge

Un touriste dit à un cafetier belge :
– Je voudrais un œuf dur.
– Je regrette, monsieur, répond le cafetier mais je n’en fais plus depuis que ma femme m’a quitté : c’est elle qui en connaissait la recette.

Comment remercier le chef ?

Une sculpturale touriste sud-américaine, qui est allée déjeuner dans un des plus célèbres « trois étoiles » de Paris, en a été enchantée. Elle fait glisser à ses pieds sa culotte de soie, et, la tenant ostensiblement à la main, pénètre dans la cuisine, en disant :
– Le chef et ses marmitons m’ont régalée de leurs spécialités. En remerciement, j’aimerais beaucoup leur faire goûter quelques-unes des miennes qui, je peux les en assurer, ne manquent pas non plus de piment.