blague Toto

Le représentant de commerce et Toto

Un représentant de commerce frappe à une porte et tombe sur Toto :
– Bonjour mon petit, est-ce que ta maman est à la maison ?
– Oui, elle est dans le jardin en train de se faire mettre par le bouc.
– QUOI ? Tu racontes n’importe quoi petit. Et tu devrais avoir honte de parler comme ça de ta mère !
– Ben venez voir par vous même…

Alors le vendeur suit Toto dans le jardin et, effectivement, le spectacle qui s’offre à ses yeux est conforme aux dires du petit garçon… Atroce !

Du coup le vendeur demande :
– Mais dis-moi petit, ta mère n’a pas peur de tomber enceinte ?

Et Toto répond :
– N-n-n-n-o-o-o-o-o-o-o-o-n-n-n-n

L’institutrice et la définition de l’électricité

C’est une institutrice qui fait la classe aux tout-petits et qui leur demande :
– Les enfants, qui peut me donner une définition de l’électricité ?

Et le petit Toto lui répond :
– Moi,. madame.! Moi, madame ! L’électricité, c’est comme la viande !
– Comment ? Et pourquoi ça ?
– Parce que souvent j’entends mon papa qui dit à ma maman : « Allez, coupe l’électricité, on va s’en payer une tranche ! »

La maîtresse et les boules de Noël

Toto dit à la maîtresse :
– Mam’zel, saviez-vous que les boules de Noël ont du poil ?

La maîtresse :
– Ben non, voyons ! Il n’y a pas de poil sur les boules de Noël !

Le Toto de répondre :
– Hé ! Noël ! Montre tes boules à la maîtresse…

La blague de Toto et des façons de penser

blague Toto, blague oiseau, blague institutrice, blague école, blague fellation, blague mariage, humour drôle

La maîtresse d’école demande à Toto :
– Il y a trois oiseaux sur une branche et je prend mon fusil et j’en tire un, combien en reste-t-il ?

Toto répond :
– Il n’y en a plus, les autres sont partis, ils ont eu peur.

La maîtresse dit :
– Non, non Toto tu vois 3 oiseaux moins un fait qu’il reste deux oiseaux sur la branche. Mais j’aime bien ta façon de penser.

Quelques jours plus tard, cette fois-ci c’est Toto qui demande à sa maîtresse d’école :
– Il y a trois femmes qui marchent sur le trottoir, chacune ayant un cornet de crème glacée à la main, une lèche son cornet, l’autre suce son cornet et la dernière croque son cornet. Laquelle est mariée ?

La maîtresse répond :
– Ce doit être celle qui suce.

Toto dit :
– Non, non c’est celle qui a une bague au doigt. Mais j’aime bien votre façon de penser.

Toto le vulgaire

Toto en classe (il lève le doigt) :
– M’dame, je peux aller pisser ?

La maîtresse (patiente) :
– Oui, mais la prochaine fois tâche d’être poli. Tu demanderas à aller aux toilettes.

L’après-midi, Toto lève le doigt pendant la classe :
– M’dame, je peux aller chier ?

La maîtresse (fâchée) :
– Toto, je t’ai expliqué ce matin comment le demander poliment, alors puisque tu ne veux pas comprendre, je vais convoquer tes parents.

Quelques jours plus tard, la mère de Toto se rend à l’école suite à la convocation. L’instit explique le langage grossier de Toto. La mère s’adresse alors à son fils présent, en ces termes :
– Toto, puisque tu n’es pas poli, tu seras privé de dessert. Tu vois j’avais fait une tarte grosse comme mon cul, avec des prunes grosses comme les couilles à ton père… Je veux bien me faire enculer si t’en manges une miette !

Et, se tournant vers l’institutrice, elle rajoute :
– Madame, en tous cas, c’est pas chez moi qu’il apprend tous ces gros mots !