blague Torah

Mortel requiem

Fausse couverture de polar réalisée par Zaïtchick
Zaïtchick – Mortel requiem

(Dessin du 26 décembre 2010)

Un requiem pour Leibowitz (Torah Torah Torah) de Igor Mortis dans la série Casher aux éditions Calmant-Lévy

Un cantique pour Leibowitz est un classique de la littérature de Science-Fiction et Tora (Tigre) Tora Tora, le cri de guerre des pilotes japonais qui attaquèrent Pearl Harbour.

La rigor mortis signifie « raideur cadavérique ».

La viande casher doit être préparée dans l’observation des principes religieux juifs (et, notamment, être vidée de tout sang !)

Les éditions Calmann-Lévy existent vraiment – mais sans « t ».

Epouser un goy

C’est Rachel qui est toute contente de ramener à ses parents celui qu’elle pense être l’homme de sa vie. Seul problème : il est goy ! Comment faire pour annoncer ça aux parents ? Rachel se lance :
– Papa, je suis amoureuse et je veux me marier avec Bernard…
– Bernard ? Ne me dis pas qu’il n’est pas juif ?!
– Si papa, c’est un goy… Mais je te rassure, il m’a promis qu’il se convertirait au judaïsme pour m’épouser.
– Ah bon, j’aime mieux ça.

Bernard étant par ailleurs un bon parti, son adoption par la famille est immédiate. Pour que la conversion soit sincère, on propose à Bernard de faire un séjour en Israël pendant lequel il étudiera la Torah avant de se convertir. Bernard accepte.

Un an plus tard, il est de retour à Orly. Rachel est stupéfaite en le voyant débarquer : il porte la barbe, la kippa et les favoris ! Cependant, elle ne cache pas sa joie :
– Enfin te voilà ! Nous allons pouvoir nous marier !

Et Bernard répond :
– Ah ça non ! Pas question d’épouser une femme qui était prête à épouser un goy !

La blague du futur gendre juif

un futur beau-papa va rendre visite à son futur beau-fils. Il le trouve plongé dans la Torah, en train d’étudier. Il s’assied à côté du jeune garçon et lui demande :
– Alors, on va parler entre hommes. Il faut bien que je saches quelques petites choses avant de te laisser marier ma fille, hein ?… Comment gagnes-tu ta vie par exemple ?
– Heu, eh bien, j’étudie la Torah, et Dieu pourvoira à cela !
– Je vois. Et comment comptes-tu pourvoir aux besoins de ta future femme ?
– Eh bien, j’étudie la Torah, et Dieu y pourvoira !
– Et vos enfants ? Comment vous en occuperez-vous ?
– Une fois encore, la Torah et Dieu feront que tout ira bien.

… Le beau-papa en puissance rentre alors chez lui, et sa femme lui demande:
– Alors ? Quelles nouvelles ?
– Oh… Il n’a pas de travail, il n’a même pas l’intention d’en trouver. Mais il y a au moins une bonne nouvelle : il me prend pour Dieu !