blague théâtre

Enterrement à répétition

Le fossoyeur rentre chez lui épuisé.
– Tu as eu une journée fatigante ? lui demande tendrement sa femme.
– Ne m’en parle pas. J’ai enterré un comédien.
– Et alors ? Ces gens-là ne sont pas plus lourds que les autres…
– Non, mais quand il a été au fond de la fosse, toute l’assistance, pour lui rendre hommage, s’est mise à applaudir comme au théâtre.
– Et alors ? C’est pas les bravos qui t’ont mis sur les genoux ?
– Si… Car ils l’ont rappelé huit fois et il a fallu que je le remonte autant !

La blague du conseil de Lincoln

Le Président des États-Unis, Donald Trump a des problèmes. L’inflation, le chômage, la balance commerciale, le racisme, l’immigration, la guerre en Ukraine, etc…

Devant cet état de chose, il décide de faire organiser une séance de spiritisme et d’interroger l’esprit du grand Lincoln.

Une dizaine de personnes, dont Trump sont rassemblées dans une pièce obscure. Elles appellent l’esprit de Lincoln.

Et soudain, une voix se fait entendre dans la pièce :
– Ici Lincoln, je vous écoute.
– Esprit de Lincoln, ici Trump. En ce moment j’ai de graves problèmes. Quelle décision dois-je prendre pour le bien de l’Amérique ? Je t’en prie, donne-moi un conseil…

Alors, la voix de Lincoln se fait entendre :
– Il faut te changer les idées. Fais comme moi. Va au théâtre…

Échange amical

Oscar Wilde, alors qu’une de ses pièces allait être jouée, eu l’attention délicate d’adresser à son vieil ami mais rival, George Bernard Shaw, deux places pour le soir de la générale. Malheureusement, il ne put s’empêcher de les accompagner d’un petit mot après avoir trempé sa plume dans du vitriol :
« Je vous envoie deux places. Vous pourrez ainsi amener un ami… si toutefois vous en avez un ! »

Par retour du courrier il fut remercié par le billet que voici :
« Merci pour les places que vous m’avez fait parvenir. Désolé, je ne suis pas libre ce soir-là, mais je viendrai à la seconde représentation… Si toutefois, il y en a une. »

L’amant pompier

Une actrice de théâtre se plaint à une collègue :
– Mon fiancé est d’une jalousie maladive, il m’accuse de le tromper, alors que depuis six mois je n’ai eu qu’un seul amant, le pompier de service.
– Oui, réplique son amie, mais tu oublies de préciser qu’il change tous les soirs !