blague testament

Requiem pour un perroquet…

Une dame très bavarde demanda à un écrivain de lui écrire un quatrain-épitaphe pour son perroquet, son «coco chéri» qu’elle venait de perdre. Et l’écrivain inventa ce quatrain :
« Passant, ci-gît un perroquet
Qui, vivant, eut beaucoup d’adresse
Mourant, il laissa son caquet
Par testament à sa maîtresse. »

Le testament de la tante

Les perles : la police

Un monsieur se présente à la brigade, un testament à la main. C’est celui de sa tante, qui est au plus mal. Le notaire est en vacances et notre homme souhaite ardemment déposer le document chez les gendarmes. Mieux vaut prévenir…

T’as le bonjour Alfred !

Le notaire est en train de lire les dernières volontés du défunt, un riche homme d’affaires, à toutes les personnes mentionnées sur le testament :
« A toi, Jacqueline, mon épouse adorée qui m’a toujours supporté dans les épreuves de la vie, je laisse les deux millions de mon compte en Suisse, ainsi que la villa de Monaco. »

Le notaire continue :
« A toi, mon fils Bertrand, je laisse tous les biens mobiliers et immobiliers que le fisc voudra bien te laisser avec les frais de succession, plus le Yacht sous pavillon des îles Caïman. »

Et l’officier ministériel termine la lecture par :
« Et enfin à toi, mon cousin Alfred, toi qui me haïssais tant, toi qui me jalousait, toi, qui pensait que jamais je ne mentionnerai ton nom sur mon testament… Tu avais tort. Bien le bonjour Alfred ! »