Quelques mois après le décès de son mari, une jeune veuve a un entretien avec le notaire. – Maître, je vous annonce que je vais me remarier… – Mais, chère madame, vous ne pourrez pas. Rappelez-vous les termes du testament de votre mari. Si vous vous remariez, toute sa fortune ira à son frère. – Cela n’a pas d’importance ! C’est son frère que j’épouse.
« Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l’ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d’une lettre que je n’ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus. Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle. »
« Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre ; or, cette lettre je ne l’ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d’une lettre que je n’ai jamais reçue ? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus. Comprenez-moi : quand on cause, il faut savoir de quoi on parle. »
« Myope comme une taupe », « Rusé comme un renard »..les termes empruntés au monde animal sont partout. La preuve :
Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous un jour ou l’autre devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche. Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat ! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous pose réellement un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l’a certifié : » Cette poule a du chien, Une vraie panthère « . C’est sûr, vous serez un crapaud mort d’amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous noyez le poisson. Vous avez le bourdon, une envie de verser des larmes de crocodile. Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut pas vous prendre pour un pigeon !