blague taureau

La visite du Diable dans le village

Ce matin, le petit village est en émoi… Imaginez donc, le Diable en personne est venu leur rendre visite ! Et, comble du sacrilège, il est, en ce moment, perche en haut du clocher de l’église.

Tout le village est donc rassemble autour de l’église pour observer cette apparition démoniaque. Le curé aussi regarde, éberlué, le Démon. Et bizarrement, la première question qui lui vient à l’esprit est :
– Mais comment est-il monté ?

Alors, l’une de ses paroissiennes, ayant entendu la question, répond en rougissant et en baissant la tête :
– Comme un taureau, mon père…

Le côté vantard des cow-boys

Dans le grand ouest américain, un soir après une journée de convoyage d’un troupeau de 5000 bovins, trois cow-boys sont assis autour du feu de camp. Ce sont tous les trois de rudes gars qui n’ont jamais eu peur de rien, sur qui la douleur n’a jamais eu aucune prise.

Après un bon café, ils se mettent à discuter…

Le premier dit :
– L’autre jour, un taureau s’était échappé de l’enclos. L’animal était en furie. Il a réussi à blesser 5 gars salement en les écornant et en les piétinant. Lorsque je suis arrivé, je l’ai rattrapé à cheval, puis je lui ai sauté dessus en l’agrippant par ses cornes. Ensuite, ça a été un jeu d’enfant de le mettre par terre en lui tordant le cou !

Le second renchérit :
– Ouais, pas mal, mais on a tous déjà fait ça. Moi, l’autre jour, alors que j’étais en vacances chez mon beauf en Floride et qu’on était en barque, l’embarcation s’est retournée. Rapidement, un alligator d’au moins trois mètres s’est rué sur moi. La bataille a bien duré 5 minutes sous l’eau, mais finalement j’ai réussi à lui faire la peau en lui déboîtant la mâchoire !

Le troisième cow-boy resta silencieux, alors qu’il remuait les braises avec sa bite.

La belote des paysans

C’est deux paysans qui discutent et il y en a un qui dit :
– Eh, Robert, mon gars, est-ce que tu viens jouer à la belote au bistrot, jeudi ?
– Ah non, je peux pas, j’envoie la vache au taureau !
– Eh bien tu viens jouer vendredi ?
– Et non, cré bon dieu, je peux pas, j’envoie ma femme au Mammouth !