Guérir la dyslexie
Un instituteur de campagne rencontre le père d’un de ses petits élèves.
– Vous savez, je suis inquiet, j’ai peur que votre fils ne soit dyslexique…
– Ah bon ? dit le père en fronçant les sourcils.
Deux jours après, même rencontre :
– Alors, ça va mieux ? demande le père. Après la raclée qu’il a prise hier, ça m’étonnerait qu’il recommence !