blague statue

La beauté de l’art

La professeur de dessin apporte en classe une miniature de la Venus de Milo, et demande à la classe :
– Alors les enfants. Ceci est un vrai chef d’œuvre, mais je voudrais bien que vous me disiez ce que vous préférez dans cette statue. Commençons par toi Kévin :
– Le travail de l’artiste, répond Kévin.
– Très bien mon petit Kévin. Et toi Dylan ?
– Ses seins !
– DYLAN ! SORS DE LA CLASSE TOUT DE SUITE ET VA ATTENDRE DANS LE COULOIR ! Hurle la prof avec dégoût. Et toi Brandon ? Qu’est-ce qui te plaît le plus dans cette œuvre d’art ?
– C’est bon je sors, madame. Je sors…

Rattraper le discobole

En découvrant une statue de l’époque romaine représentant un athlète en train de lancer le disque, un archéologue est formel :
– L’artiste a voulu exprimer, par cette œuvre, le reflet de tout homme, normalement constitué, pour l’essuyage de la vaisselle.

Chirac au Quai Branly

dessin d'actualité montrant Bernadette Chirac en Aphrodite au sesterce jaune
20 juin 2016 – Chirac au Quai Branly

Jacques Chirac prête au Quai Branly des pièces maîtresses de sa collection personnelle.
« Aphrodite au sesterce jaune – Corrèze – XXème S. »
(Caricature Bernadette Chirac – Dessin du 20 juin 2016)

La blague de la feuille de vigne

Un rabbin ayant une envie très pressante rentre dans un bar pour la satisfaire. Au moment où il rentre dans le bar, le brouhaha et la musique ambiants disparaissent pour laisser la place à un silence très lourd.

Le rabbin s’avance vers le barman et demande :
– Pourrai-je utiliser vos toilettes ?

Le barman lui répond :
– C’est que… je ne sais pas si c’est un endroit pour vous !

Mais le rabbin insiste :
– Je vous en prie, il s’agit d’une envie pressante. Ne me laissez pas dans le besoin.

Alors le barman :
– C’est que Monsieur le rabbin, nous avons dans les toilettes de ce bar la statue d’une femme qui mis à part une feuille de vigne est complètement nue, et je ne voudrais pas que vous soyez gêné par cela.

Le rabbin lui dit alors en se dirigeant vers la porte des toilettes :
– Ne craignez rien. Je suis tout à fait capable de supporter la vue de ce genre d’objet païen.

Au bout de quelques minutes, le rabbin est de retour dans le bar, mais cette fois-ci, la musique bat son plein et le brouhaha montre que tout le monde discute de bon coeur.

En s’approchant du barman, le rabbin demande :
– Je ne comprends pas très bien… Tout à l’heure quand je suis rentré, il n’y avait pas de musique, personne ne parlait, et maintenant, c’est tout le contraire.

Le barman répond :
– C’est que maintenant on sait que vous êtes des nôtres. Et d’ailleurs, pour fêter ça, je vous offre un coup à boire !
– Et pourquoi me considérez-vous comme « un des vôtres » ? Parce que j’ai utilisé les toilettes du bar ?

Alors le barman lui répond avec un grand sourire :
– Non, pas tout à fait. Il faut vous expliquer que à chaque fois que quelqu’un va aux toilettes et soulève la feuille de vigne, alors toutes les lumières s’éteignent et se rallument dans le bar… Alors vous le prenez ce verre ?