blague sport
Est-ce que l’on joue au foot au Paradis ?
Ce sont deux copains, amateurs de foot au point qu’il ne s’est pas passé un seul dimanche depuis plusieurs années, sans qu’il ne jouent un match avec leur équipe locale.
Ces deux copains footballeurs se demandent souvent si, au paradis il leur sera possible de continuer à jouer au foot.
Un jour, le destin frappe un des deux copains (un banal accident de voiture). Quelques temps après, le mort réapparaît sous l’apparence d’un fantôme à son ami encore vivant.
Le vivant s’apprête à lui demander si effectivement le foot se joue aussi au Paradis. Mais le fantôme parle le premier et lui dit :
« J’ai deux nouvelles pour toi, une bonne et une mauvaise.
La bonne, c’est que OUI, on joue au foot au Paradis.
La mauvaise, c’est que tu joues cet après-midi. »
Le petit monde des joueurs de golf
C’est deux gars en train de jouer au golf.
Ils n’ont pas de chance car ils se trouvent à jouer derrière deux femmes qui sont vraiment hypra nulles, et qui ne manquent jamais d’envoyer leur balle dans le bunker, dans le lac et dans le rough… Et en plus, elles ne songent même pas à proposer aux hommes qui les suivent les dépasser pour leur éviter d’attendre !
Après deux heures d’attente, un des deux gars dit :
« Je vais aller leur demander de nous laisser jouer ce trou devant elles ! »
Le gars y va, mais arrivé à mi-chemin, il fait demi-tour et revient vers son ami pour lui dire :
« Je ne peux pas y aller : Une des deux joueuses est ma femme, et l’autre est ma maîtresse ! Mais vas-y toi… »
Alors le deuxième gars s’avance vers les deux joueuses… Puis arrivé à mi-chemin, il fait demi-tour et revient en disant à son partenaire :
« Le monde est petit, hein… »
Les moniteurs d’aérobic et l’ampoule
Combien de moniteurs d’aérobic ça prend pour changer une ampoule ?
Cinq : 4 pour montrer le mouvement de façon hyper synchronisée, et un pour frapper dans ses mains en criant « Et à gauche, et à gauche, et à gauche, et à gauche, et on la r’tire, et on la r’tire, et on la pose, et on la pose, on ramass’ l’autre, on ramass’ l’autre, et on la visse, et on la visse, et à droite, et à droite… »