blague side-car

Le Dakar en side

Deux Parisiens décident de faire le Paris-Dakar en side-car. Jusqu’en Afrique, pas de problème. Puis vient la première étape dans le désert. Peu de temps après le départ, le side bondit sur une dune et atterrit lourdement avant de continuer sa route.

Le conducteur jette un coup d’œil vers son passager, qu’il trouve un peu pâle. Dix kilomètres plus loin, alors qu’ils foncent sur une piste caillouteuse, le conducteur jette un nouveau coup d’œil de côté. Cette fois, le passager est tout rouge. « Ce doit être la chaleur », se dit-il, et il accélère.

Au milieu de l’étape, nouveau coup d’œil. Le passager est rouge brique et tire la langue. « Ce doit être la soif », pense-t-il, et il accélère encore.

À dix kilomètres de l’arrivée, le side-car des deux Parisiens est en tête de la course. Le conducteur se tourne vers son passager, radieux, mais ce dernier est maintenant d’un rouge violacé et semble réellement sur le point de s’effondrer. « Ce doit être la fatigue », se dit-il en accélérant encore.

Le side franchit enfin la ligne d’arrivée, et le conducteur arrête sa machine.
– Eh bien, mon pauvre vieux, ça n’a pas l’air d’aller ? dit-il à son passager.
– Tu… tu te souviens de la dune, au départ ? articule péniblement celui-ci.
– Oui, très bien, pourquoi ?
– Parce qu’en retombant on a perdu le fond du side…

La séparation du motard

humour, blague sur les motos, blague sur les motards, blague sur les chutes, blague sur les feux rouges, blague sur les séparations, blague sur les side-cars

Un automobiliste s’arrête à un feu rouge. A côté de lui, un motard stoppe également, mais il ne pose pas le pied par terre et finit par tomber. Il relève péniblement son engin et repart.

Au feu rouge suivant, même manège : le motard ne pose pas le pied au sol, la moto vacille et se renverse. Le motard se relève, toujours aussi péniblement, et repart.

Troisième feu rouge, le motard ne met toujours pas pied à terre, chute de nouveau et se retrouve cette fois coincé sous son engin. L’automobiliste descend, l’aide à se relever, et lui dit :
– Mais enfin, qu’est-ce qui vous prend, pourquoi vous ne posez pas le pied par terre quand vous vous arrêtez ?
– C’est parce que ma femme m’a quitté ce matin.
– Écoutez, je suis désolé pour vous, mais je ne vois pas le rapport !
– Si, elle a emporté le side-car.

La blague de l’anguille de Marseille

Après sa matinée de pêche, Marius vient prendre son pastaga au Café des amis lorsqu’il tombe sur Dominique.
– Oh Dominique, il faut que je te raconte ce qui m’est arrivé ce matin ! J’avais pris ma barque et je pêchais tranquillement dans mon coin habituel lorsque je sens que ça mord. Je rembobine ma ligne, et qu’est-ce que je sors de l’eau ? Un bon mètre d’anguille ! Je remonte encore la ligne… Té voilà un deuxième mètre d’anguille qui arrive. Je continue à rembobiner ma ligne, encore, et je te sors 3 nouveaux mètres d’anguille. Mais c’est pas tout, le plus gros était encore dans l’eau, alors je tire sur ma ligne, et je tire, et je tire… Finalement je te sors vingt mètres d’anguille ! Té peuchère, l’anguille elle était tellement longue que j’ai dû la couper en plusieurs morceaux pour qu’elle rentre entière dans la barque !
– Eh bé dis donc…, dit Dominique, je suis admiratif. Mais tu sais, moi aussi il m’est arrivé un truc formidable à la pêche ce matin : en tirant sur ma ligne, je la sens qui est retenue. Alors je tire, je tire, je tire… Et finalement, je te sors un side-car allemand de la guerre 40. Tu te rends compte, un side-car ! Et c’est pas tout. Tu me croiras si tu veux, mais la lumière de son phare était ALLUMÉE !
– Oh Dominique… lui dit Marius, tu te fous de moi ? Tu sais que tu devrais pas te moquer comme ça !
– Bon d’accord, lui répond Dominique. Tu me coupes une quinzaine de mètres d’anguille et je veux bien éteindre le phare.