blague Ségolène Royal
Peste alors !
Ségolène Royal nommée ambassadrice… en Chine !
Ségolène Royal : « Damned ! Je me suis fait eue ! »
Pancartes : Aéroport de Wuhan. Ici, l’État chinois investit pour votre avenir… Alors, fermez-la. Bientôt, ici, un nouvel hôpital. Bientôt, ici, une nouvelle morgue.
(caricature de Ségolène Royal)
On a échangé nos dictateurs
Endémol lance une nouvelle émission Franco-Syrienne : « On a échangé nos dictateurs »
Emmanuel Macron : « Ségolène et Jean-Luc vont adorer ! »
(Caricature Emmanuel Macron et Bashar al-Assad – Dessin du 25 janvier 2020)
La puissante péripatéticienne de la politique qu’est Ségolène Royal, vivant grassement dans notre confortable démocratie la bouche ouverte et la rondelle expressive, est allée hier déclarer chez Bourdin que la France vivait « sous un régime autoritaire ».
Cela par opportunisme le plus abject, l’enflée créature imaginant récupérer quelques voix auprès des mécontents qui hantent nos rues le samedi, victimes parfois des violences qui, hélas, émaillent toutes les manifestations depuis que le monde est monde, sans que l’on ne sache plus très bien qui a commencé.
A-t-elle fait sienne la phrase célèbre de Céline : « Elle visait bas, elle visait juste » ? Ou alors serait-ce parce qu’elle a été remerciée de sa pôle-position par l’État, dont elle utilisait les opulents subsides à des fins strictement personnelles sans pudeur aucune ?
Si rappeler à cette caste de politiciens d’un autre temps, véreux sans même qu’ils s’en rendent compte, parfois de gauche quand ils parlent mais toujours de droite quand ils comptent, si leur rappeler, disais-je, quelques règles morales essentielles reléve de la dictature, alors je souhaite, de tout mon cœur, ma quéquette, mon doigt et mon glaive, être leur Néron.
Glon
