blague satyre
Le satyre d’en face
Une femme va porter plainte au commissariat de son quartier :
– Depuis une semaine, un homme, dans l’immeuble en face, se met tous les jours tout nu à la fenêtre !
Le commissaire se rend chez elle pour faire un constat et voit effectivement le bonhomme, torse nu :
– Il n’y a pas de mal à ça, ma petite dame !
– Vous n’avez qu’à monter sur la chaise, vous verrez !
Le harcèlement téléphonique
C’est une petite vieille dont le téléphone sonne un soir. Elle décroche et dit le traditionnel « Allô ».
A ce moment là, l’interlocuteur lui dit :
– Je te connais toi, je sais que tu voudrais que je te pousse sur ton lit, que je t’arrache tous tes vêtements, que je te lèche tout partout et que je te prenne comme une bête !
Et la vieille dame toute rougissante et étonnée répond :
– Comment vous faîtes pour savoir tout ça à partir d’un simple « Allô » ?
Le viol du bois maudit
Alors, c’est une jeune fille qui contourne le petit bois tous les jours pour aller à la fac de Versailles. Quand un jour, elle est très en retard et décide de traverser le bois maudit. Bien entendu, un satyre relativement bien monté lui saute dessus et lui fait son affaire. Tout en se rhabillant, l’obsédé lui demande :
– Et bien jeune fille, que vas-tu dire à tes parents ?
Alors la fille lui rétorque :
– Je vais leur dire que vous m’avez violé 2 fois !
– MAIS C’EST FAUX PETITE GARCE ! JE T’AI VIOLE QU’UNE FOIS !
Et la fille répond :
– Oui mais vous avez bien 5 minutes !
La blague de la balançoire
C’est une petite fille qui rentre à la maison toute excitée et qui dit à sa grand-mère :
– Oh Mamie, il m’arrive un truc incroyable ! Il y a un mec qui m’a donné vingt balles !
– Vingt euros, mais pour quoi faire ?
– Ben on était dans le square, et il m’a juste demandé de faire de la balançoire.
– Mais tu n’as rien compris, ma fille, cet homme est un satyre ! S’il t’a demandé de faire de la balançoire, c’était pour voir ta culotte. Ne te laisse plus faire !
– Ah bon, tu crois, Mamie ?
– Je sais ce que je dis : j’en ai connu, des comme ça, bien avant la guerre !
Le lendemain, la petite fille revient et lui dit :
– Eh, Mamie, Mamie ! Le mec, il m’a encore donné vingt euros.
– Mais c’est pas possible ! Tu n’as pas recommencé ?
– T’inquiète pas, je l’ai eu…
– Comment ça, tu l’as eu ?
– Je n’avais pas mis de culotte !