blague saloperie
La cyber confiance
Les perles : l’informatique
La cliente à la hotline :
« – C’est quoi toutes ces saloperies, là, que vous m’avez mises sur mon ordinateur. Je pars une semaine et quand je reviens y a des icônes dégueulasses sur mon écran !
– Madame, nous ne pouvons pas placer des icônes sur votre bureau comme et de plus nous n’avons aucun intérêt à le faire.
– C’est qui alors ?
(On vérifie l’historique : pendant toutes ses vacances, tous les jours il y a eu consultation de plein de sites de cul…, dans l’accès réseau à distance il y a des connexions style « charme » et « cyberbaise »…)
– Ce ne peut être que quelqu’un chez vous, madame.
– C’est pas possible, j’ai demandé à mon mari et à mes fils qui sont restés pendant cette semaine, ils n’ont pas surfé. J’ai confiance en eux.
– Alors il faut prévenir la police, madame. Quelqu’un entre chez vous la nuit.
– Ça doit être ça, j’ai confiance en eux… (Avec un petit doute dans la voix quand même.). »
La plus salope des salopes les plus salopes
Un type est en train de causer à une prostituée.
– Alors beau blond, tu montes ? Lui dit-elle.
– Je monte mais à une condition : il faudra que vous soyez vraiment salope.
– Alors ça va être cher : mille euros.
– Bon d’accord, mais il faudra vraiment être très très salope ! dit le gars en suivant la pute dans l’escalier.
– Alors ça sera très très cher : 2000 et on paie d’abord ! dit la pute.
Le gars commence à sortir ses billets de son portefeuille en ajoutant :
– Mais je vous préviens il faudra être très très très salope !
– Ecoute minou, je te prends le reste, dit-elle en s’emparant du reste des billets, et je serai la plus salope des salopes les plus salopes.
Le gars est hyper excité :
– J’en veux pour mon pognon ! dit-il.
La pute le déshabille et lui attache ses poignets avec des menottes au sommet du lit. voilà le type toute érection dehors, hyper turgescent qui lui dit :
– Je veux le sentir passer !
La pute lui répond :
– Je vais te donner plus que tu ne veux mon gros loup.
En s’approchant de lui elle lui susurre à l’oreille :
– Et maintenant mon biquet, je me tire !
et là le gars gueule :
– SALOPE ! ! ! ! ! ! !