blague Russie

La blague des russes rusés

Ça se passe en Russie. Deux gars complètement bourrés à la vodka sont en pleine virée. L’un des deux est triste alors que son copain est tout gai.
– Qu’est-ce qui te chagrine ? demande le joyeux.
– Ben, tu vois, c’est qu’à chaque fois que je rentre chez moi bourré, ma femme ferme la porte de la maison à clé. Et il faut que je reste dehors, à marcher dans les rues pendant des heures si je ne veux pas mourir gelé. Et ça me crée à chaque fois des problèmes avec la police. Et ensuite, quand ils apprennent au travail que je me suis fait ramasser par les flics, ils veulent me virer… Enfin tu vois, c’est pas terrible comme perspective…

L’autre lui répond :
– Tu sais, j’avais le même problème que toi l’année dernière, mais j’ai trouvé une solution : ma femme aussi fermait la porte de la maison en laissant la clé dans la serrure ; mais juste avant de frapper à la porte de chez moi, j’avais pris la précaution de me déshabiller sur l’escalier, et dès que ma femme ouvrait la porte, je balançais mes vêtements à l’intérieur. Aussi, ma femme me laissait rentrer pour éviter le scandale !
– T’as raison, je vais essayer ça en rentrant

Quelques semaines plus tard, les deux gars se retrouvent pour une nouvelle soirée de beuverie. Le triste est encore plus triste qu’avant.

Le gai lui demande :
– Alors ? Qu’est-ce qui s’est passé ? T’as pas essayé ma méthode ?
– Oui oui, je l’ai essayée. En rentrant, je me suis déshabillé, j’ai appuyé sur la sonnette, la porte s’est ouverte, j’ai balancé tout mes vêtements, puis la porte s’est refermée, et j’ai entendu « Prochaine station : Place Rouge ».

Les marrons de Russie

Il y a de cela quelques années, après le grand défilé sur la place Rouge, Boris Eltsine s’adresse à la foule : « Notre pays, grand pays de tradition et de… » et on entend un type qui crie : « Marrons glacés, demandez mes marrons glacés ! ».

Alors, le président Eltsine, furieux d’avoir été coupé dans son élan dit : « Le premier qui m’interrompt avec ses marrons glacés, je le fais virer du pays illico ! »

Et la foule reprend en cœur : « Marrons glacés, demandez mes marrons glacés ! »