blague russe

La blague des greffes extraordinaires

Au cours d’un débat scientifique international, les Russes et les Américains rivalisent d’exploits de greffes opérées sur des humains.
– Nous sommes arrivés à une parfaite maîtrise dans ce domaine, affirme le Russe. J’ai moi-même opéré ma propre sœur qui était atteinte de cécité totale. Je lui ai greffé les yeux d’un écureuil d’une espèce unique en Sibérie et elle voit maintenant d’une façon parfaite.
– Et moi, lance l’Américain, j’ai fait mieux ! Mon fils avait perdu une jambe dans un accident de vélo. Eh bien, je lui ai greffé une trompe d’éléphant d’Afrique et maintenant il court comme un lapin. Le seul petit inconvénient c’est que, de temps en temps, sa jambe se lève en l’air et barrit, mais c’est sans importance !
– Vous dites n’importe quoi, s’emporte le Russe. D’ailleurs, qui a vu votre fils ?

Et l’Américain de répondre :
– Votre sœur, avec ses yeux d’écureuil !

La blague de l’histoire belge

Un type a un collègue de bureau gentil mais très pot de colle et qui a une marotte, c’est de raconter des petites histoires drôles (nous le soupçonnons, d’ailleurs, de les prendre sur ce site !). Bref, tout le monde le fuit. À la cantine, un jour, le premier type a le malheur d’être assis en face du raseur et immanquablement celui-ci lui dit :
– Robert, je vais te raconter une histoire belge.
– Écoute, je les connais toutes, les histoires belges.
– Mais celle-là, je suis sûr que tu ne l’as jamais entendue !
– Laisse-moi manger tranquillement. Je te dis que je les connais toutes.
– Tu ne peux pas la connaître, elle est toute nouvelle.
– Je ne veux pas me fâcher, mais je ne veux pas entendre ton histoire belge.
– Bon, bon, je ne te la raconterai pas !

Et les deux types continuent à manger en silence. Mais au bout d’un moment, le blagueur n’y tient plus :
– Alors, je vais te raconter une histoire russe.

Pour avoir la paix, l’autre craque et lui dit :
– Bon, si tu veux. Les histoires russes, je ne les connais pas.
– Alors, voilà. C’est un Russe qui s’adresse à un agent de police et qui lui dit : « Je suis bien à Moscou, une fois ? »