blague ruine
La guerre médecins-avocats

Deux avocats américains prennent le vol Los Angeles- New York. L’un est assis près du hublot, l’autre sur le siège du milieu.
Juste avant le décollage, un chirurgien vient s’asseoir sur le troisième siège de la rangée, celui qui se trouvant au bord de l’allée.
Aussitôt le chirurgien reconnaît les avocats :
« Hé, mais vous faites partie du cabinet Burnett & Burnett… Vous avez failli faire fermer mon hôpital avec vos procès à répétition ! »
« Oui, c’est vrai », répondent les avocats, « Mais nous n’avons fait que notre métier. Je propose que nous faisions la trêve le temps de ce vol… »
« C’est d’accord », répond le médecin.
Sur ce, l’avion décolle.
Pour être plus à l’aise, le médecin retire ses chaussures, et se remue les orteils pour se détendre. Au bout d’un moment, un des avocats dit :
« Je vais aller chercher un verre de soda dans le carré de l’équipage. »
Le médecin lui propose gentiment d’aller chercher le verre pour lui, ce qui évitera le dérangement. Pendant qu’il est parti, l’avocat prend la chaussure du chirurgien et crache dedans.
Lorsque le médecin revient avec un Coca, l’autre avocat dit aussitôt :
« Je m’excuse, je ne voudrais pas abuser, mais j’en prendrais bien un moi aussi. »
Très obligeamment, le médecin retourne cherche un autre verre de Coca, et pendant ce temps-là, le deuxième avocat prend l’autre chaussure du médecin et crache dedans lui aussi !
Le chirurgien revient avec le deuxième Coca, le tend à l’avocat et se rassied.
Au moment où l’avion atterrit à New-York, il remet ses chaussures et aussitôt, il comprend ce qui s’est passé :
« Mais combien de temps est-ce que cela va durer à la fin ?! Cette guéguerre entre nos professions ? Cette animosité ? Cette haine latente ? Ces crachats dans les chaussures et cette urine dans les verres de Coca ? »
La serveuse mariée au fils du notaire
Une ancienne serveuse de restaurant dit au fils du notaire qui vient de l’épouser le matin même :
– Qu’est-ce que j’apprends ? Que vous avez engagé un pari de 150 euros avec le pharmacien en donnant ma virginité à six contre un. Mais, enfin, mon pauvre ami, si vous commencez à jeter ainsi l’argent par les fenêtres, nous serons ruinés dans six mois.