blague ronfleur

La blague du ronflement

Voici à présent quelques conseils à l’adresse des femmes dont les maris ronflent. Les méthodes préconisées ci-après sont garanties comme étant d’une efficacité totale, puisque ce sont des épouses aimantes qui nous les ont communiquées après les avoir expérimentées.

Première méthode, dite « du coton » :

« À partir du jour où, avant d’aller au lit, j’ai obstrué la bouche et les narines de mon mari avec du coton, il n’a plus ronflé. »
Signé : une veuve éplorée.

Deuxième méthode, dite « de la bouteille » :

« C’est quand il est sur le dos que mon mari ronfle. Pour l’empêcher de dormir dans cette position, je glisse des tessons de bouteilles dans le lit conjugal. Grâce à cela, je suis tranquille, il ne ronfle plus à la maison. Mais j’ai l’impression qu’il va ronfler autre part car il rentre dormir chez nous de plus en plus rarement. »
Signé : une épouse dubitative.

Troisième méthode, dite « au poivre » :

« Dès qu’il ronfle, je lui mets du poivre dans le nez. Le reste de la nuit il ne ronfle plus. Par contre, il éternue… »
Signé : une femme de Cayenne (Guyane).

Quatrième méthode, dite « du ventilateur » :

« Pendant son sommeil, je place un ventilateur au bout de son lit ; je glisse ses doigts de pieds entre les pales et dès qu’il émet un ronflement, je branche l’appareil. Depuis je dors tranquille et il porte des chaussures plus petites… »
Signé : une femme qui tient à son sommeil.

Cinquième méthode, dite « du mixeur » :

« Dès que mon mari a fermé l’œil, je lui glisse le mixeur dans la bouche ; au moindre signe de ronflement je mets l’appareil en marche et, grâce à cela, depuis, il dort comme un bébé ! Il n’a plus aucune dent et mange de la bouillie. »
Signé : une femme maternelle.

Sixième méthode, dite « de la corde » :

« Aussi doucement que possible, afin qu’il ne se rende compte de rien, je lui glisse autour du cou une corde que je passe dans une poulie préalablement fixée au plafond. Dès qu’il ronfle, je tire… Là-dessus, il me tire la langue. Comme j’ai horreur de ça, je tire plus fort. Il continue à me tirer la langue. Folle de rage devant ses manières rustres, je tire sur la corde toute la nuit… Avec cette méthode, il ne ronfle plus, mais ce qui me contrarie un peu, c’est que cela semble avoir nui à sa santé puisqu’il ne quitte plus le lit et qu’il est tout verdâtre… »
Signé : une femme qui pensait avoir tiré le bon numéro.

Note des auteurs : Les femmes qui connaissent et utilisent d’autres méthodes sont priées de nous les indiquer, car aucune subtilité de l’imagination féminine ne saurait nous laisser indifférents.

Note de l’éditeur : L’éditeur ne pourra être tenu responsable d’aucun accident, mortel ou non, survenu à la suite de l’utilisation d’une des méthodes qui précèdent.

Re-note des auteurs : Eux non plus !

Un couple assorti

Deux potes parlent mariage :
– Le mariage est une loterie où l’on ne gagne jamais. Tu en connais, toi, des couples bien assortis ?
– Oui, mes voisins ! Lui ronfle mais sa femme est sourde.

Le ronfleur fou

Dans les couloirs d’un hôpital psychiatrique, un malade accoste le médecin-chef :
– Écoutez, docteur, ce n’est plus possible. Je n’arrive pas à dormir.
– Tiens ! Et pourquoi ?
– Je ronfle tellement fort que je me réveille tout le temps !
– Et alors, que voulez-vous que j’y fasse ?
– Je ne pourrais pas dormir dans la chambre d’à côté ?

Finalement c’était mieux avant…

– Depuis qu’elle est devenue sourde, Léone croit qu’Adrien ne ronfle plus.
– Tout est donc pour le mieux !
– Non, car elle a des soubresauts la nuit.
– Et pour quelle raison ?
– À chaque ronflement d’Adrien, le lit tremble, la déplace, et parfois même, elle tombe lourdement sur le sol…

La blague de la chirurgie du ronflement

C’est une femme qui va voir son médecin :
– Docteur, mon mari ronfle tellement fort que je ne dors pas de la nuit, et cela fait des années que ça dure…
– C’est si dur à supporter ?
– Ben, vous ne pouvez imaginer. On dirait un Boeing, si vous voyez ce que je veux dire, ou alors parfois un 30 tonnes à fond la caisse…
– Amenez-le moi demain, on verra ce qu’on peut faire.

Le lendemain, le médecin examine le patient.
– Moi, je ne vois rien. Tout semble normal. Il vaudrait mieux s’adresser à un spécialiste… Je vous fais une lettre.

Quelques mois plus tard, le rendez-vous arrive. Le spécialiste examine le mari :
– Bien sûr ! Je vois ce qu’il faut faire : ablation de la luette, et puis ensuite, tout ira bien. Vous pourrez dormir tranquille, madame !

On ablationne, tout va bien. Quelques semaines plus tard :
– Ecoutez votre opération, elle a servi à rien, mon mari ronfle toujours comme un Boeing, ou un 30 tonnes à fond la caisse. Ça ne peut plus durer, je vais craaaquer !
– Amenez le moi !

Cette fois, le spécialiste n’y va pas par quatre scalpels :
– Bon, on va racler toute la gorge au laser, jusqu’aux poumons. A mon sens, il n’y aura plus de problèmes. Allez ! On y va de suite, juste un petit wisky pour la route….

Le patient clamse sur la table, et le spécialiste est bien ennuyé quand même…
– Ça ne fait rien, docteur. Vous avez quand même réussi. Je vais enfin dormir tranquille. C’était le but non ? Bon, je l’incinère et on n’en parle plus…
– Mais…
– Pas de mais… On était marié depuis tellement longtemps que vous savez, il était plus un inconvénient qu’autre chose, surtout depuis qu’il avait acheté la maison…

Quelques semaines plus tard :
– Docteur, je n’y comprends plus rien ! vous l’avez bien zigouillé sur la table d’opération ?
– Je ne dirais pas les choses comme ça, mais oui !
– Ben alors, c’est son fantôme ! Toutes les nuits, ça ronfle comme un Boeing, ou un 30 tonnes à fond la caisse… Je ne dors pas plus !
– Bon, là, je n’y comprends plus rien ! Il vaut mieux que je vienne chez vous pour vous examiner. Vous habitez où ?
– Vous voyez Roissy ? Bon, vous prenez l’autoroute, et entre l’aéroport et l’autoroute, la petite maison, c’est chez moi…