blague retour

Je retourne chez ma mère !

– Je retourne chez maman, s’écrie une femme, au comble de l’exaspération. Mais que fais-tu, avec ce téléphone ?
– J’appelle ton pauvre père pour lui dire que, s’il veut échapper à ces deux furies et trouver un peu de calme, il vienne tout de suite s’installer ici.

Les naufragés et le génie

Trois hommes parviennent sur une île déserte, suite au naufrage de leur bateau. L’île abonde en fruits sauvages et en poissons, et ils parviennent à survivre. Un jour, en coupant une noix de coco, au lieu du lait de coco, c’est un génie qui sort !
« D’habitude, on a droit à trois vœux quand on me libère, mais comme vous êtes trois, vous n’en ferez qu’un chacun » dit le génie.

« Moi, j’ai une femme et une petite fille, alors bien que je me plaise ici, j’aimerais rentrer chez moi… » répondit un naufragé.

Et d’un claquement des doigts du génie, il fut ramené chez lui.

« Moi, je n’ai pas de femme, mais j’ai des tas d’amis dans mon pays, et j’aimerais bien les revoir ».
Et clac, il disparaît aussi.

« Et bien, moi », dit le troisième, « Je n’ai ni femme, ni amis. Ou plutôt, si, mais mes seuls amis viennent de partir. Alors, mon vœu serait qu’ils reviennent ! »

Cocu ou pas cocu ?

Un gars rentre chez lui le soir. Alors qu’il se réjouit de revoir sa dulcinée, il croise un homme qui lui dit en chantonnant :
« Cocu cocu »

Le gars rentre chez lui, observe l’appartement, ne voit rien d’anormal et décide de ne pas parler de ça à sa femme.

Le lendemain, même chose, alors qu’il rentre, il croise le même homme qui lui chantonne :
« Cocu cocu »

Il décide à nouveau de ne rien dire à sa femme… Mais au bout d’une semaine ou chaque jour la même chose se produit, il décide alors d’en parler à sa femme. Celle-ci lui assure qu’il n’est pas cocu, et que cet homme doit être un fou…

Le lendemain, il rentre et croise l’homme qui lui dit en chantonnant :
« Cocu…Cocu…et en plus cafteur avec ça »

De l’utilité du service militaire

Les perles : Les futurs appelés du contingent

« Je suis la maman de xxx. Si je vous écrit, c’est que je souhaite vivement qu’il soit incorporé, et dans les meilleurs délais. S’il est possible qu’il ne revienne pas cela ne sera pas plus mal […] j’espère beaucoup sur la discipline de l’armée, telle que vous savez l’enseigner. »