blague restaurateur
Délation familiale
Les perles : la justice
Sur la Côte d’Azur, un restaurateur belge a été arrêté neuf ans et neuf mois après le meurtre qui lui était reproché. À trois mois près, il ne pouvait pas être poursuivi. C’est sa belle-sœur qui a parlé à la police. On se méfie des belles-mères, mais on ne se méfie jamais assez des belles-sœurs.
Le restaurant judiciaire
Les perles : la justice
Un restaurateur voisin du palais de justice a une idée ingénieuse : confectionner un menu entièrement voué à la cause judiciaire. La nouvelle carte du chef est ainsi baptisée « Le panier à salades ».
Le client a le choix entre « le prévenu » (salade à base de chèvre chaud), « le faux témoin » (à base de fêta et d’olives noires), « l’alibi » (salade verte accompagnée d’œufs), « le verdict » (lardons et croûtons) et « le sursis », soit le droit d’attaquer directement par un plat dit « de résistance ».
Point « d’avocat vinaigrette » ni « d’avocat aux crevettes ». Plutôt discret, l’avocat n’est présent que dans une seule salade, « la relaxe », le chemin le plus court qui mènera à une saine digestion. Quant à la carte des sucreries, elle est joliment baptisée « Desserts en cavale ». Dans l’hypothèse où vous n’auriez eu droit ni au « panier à salades » ni au « sursis ».
La dynamique du sexe
Les perles : la justice
À la barre du tribunal, un restaurateur poursuivi pour atteinte sexuelle justifie ses gestes et baisers déplacés envers ses employées : « J’essaie de dynamiser mon équipe ». L’ennui, c’est que, de l’aveu de ses salariées et victimes, la « stratégie d’entreprise » ainsi déployée a produit exactement l’effet inverse.