blague représentant de commerce

Les murs ont des oreilles

Un représentant de commerce doit passer la nuit dans un petit hôtel de province. La réceptionniste lui donne une chambre jouxtant celle occupée par deux jeunes mariés qui y passent leur nuit de noces.

Les murs des chambres sont tellement fins qu’au cours de la nuit, le pauvre représentant de commerce ne parvient pas à trouver le sommeil, tant les gémissements de plaisir de la mariée sont bruyants.

Finalement, au bout de deux heures d’insomnie rythmée par les ça-va-ça-vient des nouveaux époux, le vendeur n’y tient plus :
– « IL EST TEMPS D’ARRÊTER MAINTENANT », hurle-t-il en se plaçant près du mur. « IL Y A DES GENS QUI ESSAIENT DE DORMIR ! »

Et alors de l’autre côté une voix répond :
– « Criez plus fort, elle ne peut pas vous entendre ! »

Un attaché-case très spécial

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Un monsieur entre dans une maroquinerie et demande :
– Je voudrais un attaché-case de dix centimètres de large sur deux mètres de long…
– Nous n’avons pas cet article, répond la vendeuse. Mais que voulez-vous en faire ?
– Je suis représentant en spaghettis, explique le monsieur et j’aurais voulu m’en servir pour y ranger mes échantillons.

La blague du vieillard excité

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Surpris par l’orage, un représentant de commerce a trouvé refuge dans une ferme. Le paysan et sa femme lui offrent à dîner et lui proposent :
– Si vous voulez passer la nuit ici, vous n’aurez qu’à coucher dans le même lit que le grand-père. Ça ne vous ennuie pas ?
– Pas du tout, approuve le représentant.

Il gagne donc le lit du grand-père et s’endort tranquillement. Mais, au petit matin, il est réveillé par le vieillard qui hurle :
– Une femme ! Je veux une femme !
– Ecoutez, mon ami, dit le représentant, c’est impossible et cela pour trois bonnes raisons : d’abord, il est trop tôt; ensuite les filles du village ont autre chose à faire que de vous tenir compagnie ; et, enfin, ce que vous tenez dans la main, en ce moment, et qui vous excite tellement… c’est à moi.

La blague du cric

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Donc, c’est un voyageur de commerce qui passe toute la semaine sur la route. Il rentre chez lui tous les week-ends, et nous sommes justement un vendredi soir, tard, la nuit est bien avancée. Il est encore au volant et il lui reste pas mal de chemin à faire.

Il se trouve dans un coin paumé, le dernier bled qu’il a traversé est déjà à une bonne vingtaine de kilomètres – le suivant n’est pas plus proche – lorsqu’une de ses roues crève. Comme c’est son boulot d’être sur la route et qu’il est organisé, il sait que sa roue de secours est OK, il se fait pas de soucis et se met en devoir de réparer ça. Il sort avec sa lampe électrique, chope la roue, puis s’aperçoit qu’il n’a pas son cric. Effectivement, le week-end précédent, il s’en est servi et ne l’a pas rangé.

Il n’a d’autre alternative que s’armer de courage et de partir à pieds au dernier village qu’il a traversé, où, se souvient-il, se trouve un garagiste qui devrait pouvoir lui vendre un cric.

C’est donc une longue marche qui l’attend. Comme on est en hiver, une pluie pénétrante commence à tomber et à le glacer jusqu’aux os. Il est dans le noir complet, sa lampe électrique ayant rendu l’âme quelques kilomètres après son départ.

Il commence donc à ressasser de noirs pensées, et à se parler à lui-même :
– Est-ce qu’au moins cet abruti de garagiste va avoir un cric ?
– Ouais, bien sûr, tous les garages ont des crics. Mais, le mec, il va te voir venir, … dans ta situation, il va au moins t’en demander 500 balles …

Quelques kilomètres passent, et il continue a rouméguer (terme occitan dont la sonorité suffit à comprendre la signification) :
– Tu parles, il peut même t’en demander 1000 balles, de toutes façons, t’as pas le choix.

Exacerbée par l’absurdité de la situation, par les éléments qui se déchaînent contre lui, une sourde colère croît en lui au fil des kilomètres, et il continue son dialogue intérieur :
– T’es complètement à sa merci, mec. Il peut même te le vendre 2000 balles, son cric, et toi, comme un con, t’auras qu’à la fermer et payer …

Il arrive enfin en vue du bled, et il aperçoit l’enseigne du garage. Il rassemble le peu de forces qui lui restent et force le pas, continuant à rouscailler :
– Tu vas voir que ce connard est capable de t’en demander 3000, 4000 balles. Tu parles, c’est pas tous les jours qu’il trouvera un tel pigeon.

Arrivé au portail du garage, il commence à tambouriner. Pas de réponse. Il s’active derechef pieds et poings contre le portail, une tête hagarde de sommeil se pointe alors à une fenêtre du premier étage. C’est alors que le voyageur de commerce, au comble de la fureur et avant que l’autre ait pu placer un mot, lui hurle :
– ESPÈCE D’ENCULÉ, TU SAIS OU TU PEUX TE LE COLLER, TON CRIC, …

Le représentant tenace

– Chère madame, dit l’homme qui vient de sonner à la porte, l’an passé, vous m’avez chassé à trois reprises alors que je venais vous interroger, pour l’IFOP, sur vos intentions en matière électorale. Pour me faire pardonner ces atteintes répétées à votre vie privée, je viens vous offrir un cadeau. Que diriez-vous de vingt-quatre mois de délai pour régler les traites de cette magnifique encyclopédie ?