blague religieuse

L’amant religieux

Un représentant de commerce roule sur une petite route de campagne lorsque sa voiture tombe en panne. Il la fait remorquer au garage le plus proche qui se trouve tout près d’un couvent. Le mécanicien ouvre le capot et dit qu’il va en avoir pour une heure ou deux de travail.

Histoire de tuer le temps, le représentant va visiter le couvent et se retrouve bientôt dans la cellule de sœur Blandine. La jeune religieuse est fort appétissante et une petite entorse au vœu de chasteté ne semble guère tourmenter sa conscience.

Le représentant et la nonne viennent de monter ensemble au septième ciel lorsque des bruits de pas claquent dans le couloir. Précipitamment, sœur Blandine pousse son amant, nu, par la fenêtre et l’exhorte à déguerpir. Elle se rhabille vivement, fait un ballot avec les vêtements du représentant, dissimule le tout sous son ample robe et file à la buanderie où elle le jette dans un panier à linge.

Le soir, la mère supérieure convoque toutes les religieuses.
– Mes sœurs, dit-elle, nous venons de trouver des souliers d’homme dans la buanderie.
Toutes les religieuses poussent des exclamations scandalisées. Au milieu du concert de cris s’élève un petit gloussement, celui de la sœur Blandine.

– Nous avons aussi trouvé une chemise d’homme, ajoute la mère supérieure.
Toutes les nonnes poussent des cris effarés, sauf sœur Blandine qui glousse discrètement.

– Et un pantalon d’homme.
Cris effarés des nonnes et petit gloussement de sœur Blandine.

– Ainsi que des sous-vêtements masculins et un préservatif, poursuit la mère supérieure.
Nouveaux cris effarés et petit gloussement en provenance du fond de la salle.

– … qui était d’ailleurs percé, complète la mère supérieure.
Toutes les sœurs se mettent à glousser et un seul petit cri de stupeur s’élève au fond de la salle.

La poule du couvent

Dans un couvent, deux religieuses regardent une poule fuir devant un coq un peu trop empressé. La poule traverse la route, mais une voiture surgit à cet instant précis et l’écrase. L’une des religieuses se tourne alors vers sa voisine et lui dit :
– Cette poule était une sainte.

La blague de la constipation religieuse

Une religieuse entre dans une épicerie et demande une bouteille d’armagnac.
– Je ne sais pas si je dois vendre de l’alcool à une religieuse, objecte le commerçant qui est très catholique.
– Mais, réplique la sœur, c’est le seul moyen de guérir la constipation de notre mère supérieure.
– Effectivement, admet l’épicier, c’est un cas de force majeure.

Il tend à la nonne une bouteille soigneusement enveloppée dans un sac de papier et lui recommande de ne rien dire à personne.

Une heure plus tard, le brave homme baisse son rideau de fer et rentre chez lui. En chemin, il aperçoit la religieuse ivre morte sur un banc public, la bouteille d’armagnac vide à la main. Il s’approche.
– C’est du joli, ma sœur ! Vous m’aviez dit que cette bouteille était destinée à soigner la constipation de la mère supérieure. Quand je pense que je vous ai crue…
– Mais, hips ! c’était vrai, balbutie la religieuse. Quand elle… hips ! Quand elle va me voir rentrer… hips ! vous pouvez être sûr que ça va chier.

Vieille peau religieuse

Sœur Marie-Thérèse-de-la-Visitation-de-l’Enfant-Jésus revient au couvent en taxi, après une permission. Comme la rue est très étroite, le temps qu’elle prenne ses valises dans le coffre de la voiture, un embouteillage se forme derrière elle. Un conducteur plus impatient que les autres sort de son auto et crie au chauffeur de taxi :
– Elle en a pour longtemps, la vieille peau ?

Le chauffeur lui répond par un bras d’honneur et lance :
– Ma vieille peau, elle t’emmerde, connard !

Puis il se tourne vers la sœur et, deux tons en dessous :
– Pas vrai, ma sœur ?

Le débat jésuite

Dans une institution religieuse tenue par des Jésuites, un petit garçon demande :
– Pardon mon Père, c’est vrai que les Jésuites répondent toujours à une question par une autre question ?

Le Jésuite regarde le petit garçon et lui dit :
– Qui vous a dit ça ?