blague règlement

La blague de la dette policière

Charlie-le-massacreur, un énorme catcheur avec des bras gros comme ça, entre dans un bar et commande un double whisky. Il le vide d’un trait et en commande immédiatement un autre.
– Oh, et puis allez, j’offre une tournée générale ! lance-t-il à la cantonade.

Le patron sert tout le monde, puis présente l’addition au terrible Charlie.
– Laisse tomber, petit, fait le catcheur. Moi, je ne paie jamais.
– C’est ce qu’on va voir ! hurle le patron, furibond.

Il se précipite au-dehors, avise un agent de police et lui explique son cas.
– Un mauvais payeur, hein ? fait le flic. Ne vous en faites pas, je vais vous régler ça rapidement.

Mais quand il entre dans le café et qu’il voit le monstrueux Charlie-le-massacreur, le malheureux policier se sent défaillir.
– C’est lui qui refuse de payer ? demande-t-il.
– Oui, c’est lui, répond le patron. Alors, qu’est-ce que vous attendez ! Vous m’aviez dit que vous me régleriez ça rapidement !

Alors le flic, superbe :
– Monsieur, la police nationale n’a qu’une parole. Je vous dois combien ?

Toto épicier

Un instituteur appelle au tableau Toto, son plus mauvais élève.
– Bien, dit-il. Toto, voici une occasion de te racheter. Je vais te poser un problème facile : imagine que tu sois épicier et que je sois l’un de tes clients. Jusque-là, ça va ?
– Oui, m’sieu.
– Parfait. Je t’achète une boîte de petits pois à trois euros et un paquet de sucre à cinq euros. Combien te dois-je ?
– Oh, laissez ça, m’sieu, répond Toto. Vous me réglerez demain !