Un petit garçon explique à sa mère :
– Maman, j’ai été chargé par le prof de rédiger la première page de notre journal de classe en racontant un fait divers auquel j’avais assisté.
– Et alors, qu’as-tu décrit ?
– Le jour où, successivement, tu t’étais brûlé un doigt avec une allumette, puis légèrement coupé en épluchant des pommes de terre pour la soupe. Ça m’a fait un bon titre : « Une cuisine à feu et à sang ».
Une petite fille de 6 ans a entendu sa mère parler avec des amies d’une femme, en employant à son propos, tour à tour, le mot « enceinte » et l’expression : « porter un enfant ».
Quelque temps après, la fillette doit raconter dans une rédaction, un événement qui l’a particulièrement frappée, elle écrit :
« Un incendie s’était déclaré dans l’appartement du troisième étage. Une femme criait par la fenêtre : « Sauvez mon bébé ! ». Un pompier est monté sur la grande échelle. Il est entré dans l’appartement et, quand il en est ressorti, il était enceint ».
L’institutrice :
– Toto, tu me feras une rédaction de cinquante lignes pour ta punition. Sujet : « Mon papa fait du bricolage ».
Le lendemain, elle reçoit le texte suivant :
« Mon papa a voulu planter un clou dans le mur, il s’est frappé le doigt. P.S. : Maman n’a pas voulu que je recopie ce que papa a dit ensuite… »
