blague recyclage
La blague du recyclage des prépuces
Un contrôleur des impôts arrive un jour dans la synagogue d’un petit village pour un contrôle fiscal inopiné.
Le rabbin l’accompagne pour une visite des lieux.
– Alors dites-moi, Monsieur le rabbin, après avoir distribué votre pain azyme, que faites-vous des miettes ?
Le rabbin, bon enfant répond :
– On les rassemble précautionneusement, et on les expédie en ville où ils refont du pain avec et nous le renvoient.
– Hmmm… Et la cire des chandelles non brûlées ? Que faites-vous des restes ?
– Eh bien, c’est pareil : on récupère les bouts et on les renvoie en ville pour faire de nouvelles bougies avec, qui nous seront réexpédiées.
– Hmmm hmmmm… A propos, je me suis toujours demandé… continue le vérificateur, pour la circoncision, qu’est-ce que vous faites de tous ces bouts de prépuces ?
D’un ton neutre, le rabbin dit :
– On les envoie en ville.
– En ville ? questionne encore le contrôleur, et qu’est-ce qu’ils peuvent bien vous renvoyer en échange de ça ?
Et rapide comme la foudre divine, le rabbin le foudroie en disant :
– Aujourd’hui, c’est vous qu’ils nous ont envoyé !
Le recyclage du papier
Au Centre national de la recherche scientifique, deux savants bavardent :
– Moi, dit le premier, en recyclant une tonne de papier imprimé, je suis parvenu à obtenir 500 kilos de papier blanc. Avouez que c’est bon pour l’écologie, ça !
– Ouais. Moi, je suis une autre piste qui serait encore bien meilleure. Avec une tonne de vieux journaux, j’espère arriver à obtenir un arbre que l’on pourrait planter dans son jardin.
Comment les Américains fournissent les Français
Un Américain et un Français discutent dans un restaurant :
– Dites-moi, demande l’Américain, en France, quand vous mangez du pain, vous mangez TOUT le pain ?
– Bien sûr, répond le Français, on ne va pas gaspiller du si bon pain !
– Pas nous, répond l’Américain. Ce qui est trop dur, on le reconditionne et on en fait des petits pains qu’on revend aux Français.
– Et la viande ? continue l’Américain, vous mangez tout dans la viande ?
– Bien sûr, répond le Français, on ne va pas gaspiller de la si bonne viande !
– Pas nous, répond l’Américain. Ce qui est trop gras, on le reconditionne et on en fait des steaks surgelés qu’on revend ensuite aux Français.
– Ah oui ! attaque le Français, et vous, vos capotes usagées ? Vous les jetez ?
– Quand même, oui !
– Ben nous en France on les reconditionne et on en fait des chewing-gum qu’on revend aux Américains !