Sur l’autoroute, un curé roulant à toute vitesse se fait prendre par le radar d’un hélicoptère de police. Un CRS l’intercepte au péage et commence à lui rédiger une contravention.
« Comment avez-vous su que j’allais à plus de 180 ? » demande le prêtre énervé.
Sans quitter la contravention des yeux, le policier pointe le doigt vers le ciel vers le ciel.
« Ça, ça m’étonnerait » rétorque l’homme d’église, « LUI ne m’aurait jamais dénoncé ! »
C’est un gars qui roule en voiture sur l’autoroute et qui se fait flasher à 180 par un radar planqué sous un pont. Cinq kilomètres plus loin, il est arrêté au péage, et un C.R.S. vient lui rappeler le code de la route: – Vous venez de vous faire flasher à 180 km/h… Vous savez que sur les autoroutes françaises, la vitesse est limitée à 130 km/h je suppose ! Allez ranger votre voiture sur l’aire de stationnement et vous me suivrez pour que je vous dresse le procès-verbal.
Une fois dans le car, le C.R.S. commence à remplir le P.V. Il pose les questions rituelles, identité, permis de conduire, profession… Arrivé là, l’automobiliste en infraction répond : – Mon boulot ? Je suis réaléseur de trou-du-cul ! – Pardon ?! Répond le C.R.S., vous êtes QUOI ? – Je suis réaléseur de trou du cul ! – Et ça consiste en quoi ? – Eh bien, les gens m’appellent, et ils me disent qu’ils voudraient avoir un trou-du-cul plus large, alors j’arrive, et je commence : un doigt, puis deux, puis toute la main, puis les deux mains, puis je pose des étais et des crics et finalement je m’arrête quand j’obtiens un trou du cul de 1,80 mètres.
Le C.R.S. a le regard dans le vague et la bouche ouverte : mentalement, il essaie de se représenter les scènes que le type vient de lui décrire. Finalement il reprend ses esprits : – Mais qu’est-ce qu’on peut bien faire avec un trou du cul de 1,8 mètres ?
Alors l’automobiliste répond avec une grimace : – On lui donne un radar et on lui dit d’aller se planquer sous un pont !