Un car d’ouvriers japonais arrive à Paris. Ils trouvent les prix assez chers. Le soir, l’un d’eux demande à une jolie pute combien elle prend. – 150 euros la passe, 1500 euros la nuit.
Le Japonais dit : – OK pour la nuit, mais à mon hôtel.
Ils font l’amour puis le Japonais va à la salle de bains, revient, refait l’amour et recommence ainsi plusieurs fois… La fille est comblée mais au petit matin elle veut aussi passer à la salle de bains et, oh surprise ! Elle y trouve tous les Japonais du car, attendant leur tour…
C’est l’histoire d’un type qui veut aller voir une prostituée, mais qui n’a pas beaucoup d’argent. Il demande ce qu’il peut avoir pour le peu d’argent qu’il a : On lui désigne alors une femme d’un certain âge au coin d’une rue. Il va la trouver, elle l’emmène dans son studio, ouvre un tiroir et met son œil de verre dedans. Le type est surpris. – Hé, à quoi t’attendais-tu pour ce prix ?
Puis elle met son dentier dans le tiroir. – C’est ça ou rien… se dit-il.
Puis elle met sa jambe de bois dans le tiroir, ainsi que son faux bras, sa perruque, ses faux seins,…
Elle s’allonge alors sur le lit : – Tu viens chéri ? – Où ça ? Sur le lit ou dans le tiroir ? répond le gars.
Un mari et sa femme avaient beaucoup de difficultés pour joindre les deux bouts. Criblés de dettes, ils se résolurent à ce que la femme se prostitue, de manière à enfin pouvoir faire face à leurs échéances.
Le mari amène donc sa femme à l’endroit de la ville où ce genre de commerce a lieu ; puis il informe sa femme qu’en cas de besoin, elle pourra le trouver à une centaine de mètres de là, au café.
Peu de temps après que l’apprentie prostituée ait commencé à faire le pied de grue, le premier automobiliste intéressé s’arrête. Il lui demande combien elle vend ses services pour l’affaire complète. Elle répond : « Je ne sais pas, je suis débutante. Si vous patientez 2 minutes, je vous dirai ça tout de suite. »
Et elle s’en va demander à son mari qui lui répond de demander 100 euros. Elle transmet le tarif au client qui lui dit : « C’est trop cher pour moi. Combien ce serait pour une pipe ? »
Et là, rebelote, la nouvelle est obligée d’aller voir son mari pour connaître le prix. Ensuite elle revient et dit au client : « Pour la pipe, c’est 40 euros. »
Pour ce prix là, le client est d’accord. Elle monte alors dans la voiture du client, et là le client baisse son pantalon puis son caleçon.
La novice peut alors constater qu’elle est tombée sur LE monstre. C’est ni plus ni moins que le grand Rocco Siffredi en taille réelle. Visiblement, la vision du pénis du gars la perturbe, car elle sort de la voiture et fonce rejoindre son mari au café. Là elle lui demande : « Dis, je pourrais t’emprunter 60 euros ? »
C’est deux filles de joie qui discutent et il y en a une qui dit : – Tu sais pas la dernière ? Je suis enceinte ! – J’espère que tu connais le père ! – Dis donc, ma grande, quand tu manges un boîte de haricots, tu sais lequel te fait péter, toi ?