blague pute
Le tunnel de la prostituée
C’est l’histoire de cette prostituée qu’on avait surnommée « Le Tunnel » en raison de son appareil génital qui, à force de passes, tenait plus du hall de gare que du petit nid douillet.
Ayant raccroché, cette fille sympathise, un soir en boite de nuit, avec un jeune Belge de passage à Paris. Et, ils se plaisent tellement que le jeune homme la ramène chez lui, à Bruxelles, en lui promettant de l’épouser.
Et, dès la semaine suivante, l’union des deux jeunes gens est célébrée par le bourgmestre dans une stricte intimité.
La nuit de noces approchant, ne voulant pas que son époux imagine trop de choses désagréables en lui faisant l’amour, notre ex-prostitué lui sert un bon gros mensonge préventif :
– Tu sais, quand j’étais gamine, je me coincé la choupinette en enjambant une clôture de fil barbelé. Donc, ne n’étonne pas trop si tu me trouve… Comment dire ???… Si tu me trouve un peu large… D’accord mon chéri ?…
Et la nuit de noces se passe… Sans utiliser aucun lubrifiant, cela va sans dire…
Au matin, le jeune marié apporte à sa nouvelle épouse les croissants au lit et lui demande :
– Chérie, que tu te sois coincé la choupinette dans du barbelé, OK… Mais ce que j’aimerais bien savoir, c’est combien de mètres tu as fait avant de t’en rendre compte ?
La blague de la misogynie

Un homme à femmes : c’est un séducteur.
Une femme à hommes : c’est une pute.
Un entraîneur : c’est un homme qui entraîne une équipe sportive.
Une entraîneuse : c’est une pute.
Un professionnel : c’est un sportif de haut niveau.
Une professionnelle : c’est une pute.
Un coureur : c’est un homme qui est bon joggeur.
Une coureuse : c’est une pute.
Un rouleur : c’est un grand cycliste.
Une roulure : c’est une pute.
Un turfeur : c’est un homme qui prend les paris.
Une turfeuse : c’est une pute.
Un gagneur : c’est un homme qui réussit.
Une gagneuse : c’est une pute qui rapporte.
Un masseur : c’est un kiné.
Une masseuse : c’est une pute.
Un abatteur : c’est un homme qui fait un dur métier.
Une abatteuse : c’est une pute qui turbine.
Un homme qui fait le trottoir : c’est un paveur.
Une femme qui fait le trottoir : c’est une pute.
Un courtisan : c’est un homme qui est proche du Roi.
Une courtisane : c’est une pute.
Un gars : c’est un jeune homme.
Une garce : c’est une pute.
Un péripatéticien : c’est un homme partisan de la doctrine d’Aristote.
Une péripatéticienne : c’est une pute.
Un homme public : c’est un homme connu.
Une femme publique : c’est une pute.
Un homme de petite vertu : cela ne se dit pas, sauf pour les avocats.
Une femme de petite vertu : c’est une pute.
Un homme facile : c’est un homme agréable à vivre.
Une femme facile : c’est une pute.
Un homme sans morale : c’est un politicien.
Une femme sans morale : c’est une pute.
La blague de la pute fortunée

À New York, dans son bar favori, un type aperçoit une bombe entrer au bras d’un mec d’une laideur inénarrable. Il demande au barman s’il connaît la fille et est surpris d’apprendre que c’est une prostituée.
Il la regarde tout le reste de la soirée, en se disant qu’il pourrait s’offrir une telle beauté. Il revient le lendemain. La gueuse est là, seule. Il prend son courage à deux mains et l’aborde.
– Est-ce vrai que vous êtes une prostituée ?
– Bien sûr, mon grand loup. Que puis-je pour toi ?
– Ben, je ne sais pas. Combien vous prenez ?
– 500 euros pour une branlette.
– 500 la branlette ? Mais ça ne va pas ?!
– Tu vois, la Ferrari garée devant le bar ?
Le type zieute et voit une Ferrari rouge rutilante.
– J’ai payé cette Ferrari en liquide, avec l’argent que j’ai gagné de mes branlettes et crois-moi, ça les vaut.
Le type réfléchit un peu et se décide.
Ils partent ensemble et le type reçoit la plus phénoménale branlette qui soit, mieux qu’une nuit complète d’amour : la plus extraordinaire expérience de sa misérable vie.
La nuit suivante, il l’attend avec impatience au bar et, quand elle entre, l’aborde immédiatement.
– La nuit dernière était incroyable !
– Bien sûr que c’était incroyable et encore, tu n’as pas goûté à mes pipes…
– Et c’est combien ?
– 1000 euros.
– 1000 euros, c’est impossible !
– Tu vois l’immeuble grand standing, en face de la rue ?
Le type regard l’immeuble de 12 étages.
– J’ai payé cet immeuble en liquide avec l’argent que j’ai gagné de mes pipes et crois-moi, ça les vaut.
Basé sur son expérience de la veille, le type se doit d’essayer.
Il part avec elle et, une fois encore, il n’est pas déçu. Il manque même de s’évanouir de plaisir.
La nuit suivante, il peut à peine se contenir, tant il est impatient de la voir. Quand elle arrive, il se précipite :
– Je suis accro ! T’es la meilleure ! Dis-moi, combien ça me coûte pour ta chatte ?
Elle le prend par la main, l’emmène sur le trottoir et lui montre le bas de la rue où, entre deux immeubles, il peut entrapercevoir Manhattan.
– Tu vois cette île ?
– Non, arrête tes conneries ! Tu veux quand même pas dire que…
Elle hoche de la tête :
– Oui oui, si j’avais une chatte, Manhattan m’appartiendrait.