blague putain

La prostituée en kit

C’est l’histoire d’un type qui veut aller voir une prostituée, mais qui n’a pas beaucoup d’argent. Il demande ce qu’il peut avoir pour le peu d’argent qu’il a : On lui désigne alors une femme d’un certain âge au coin d’une rue. Il va la trouver, elle l’emmène dans son studio, ouvre un tiroir et met son oeil de verre dedans.

Le type est surpris.
– Hé, à quoi t’attendais-tu pour ce prix ?

Puis elle met son dentier dans le tiroir.
– C’est ça ou rien… se dit-il.

Puis elle met sa jambe de bois dans le tiroir, ainsi que son faux bras, sa perruque, ses faux seins,…

Elle s’allonge alors sur le lit :
– Tu viens chéri ?
– Désolé, j’ai oublié ma bite à la maison…

Du racisme et de la susceptibilité

Un noir, responsable d’une organisation antiraciste, va trouver le responsable de la bibliothèque de son quartier pour lui ordonner :
– Vous allez retirer de vos rayons cinquante livres dont voici la liste.
– Et sous quel prétexte ?
– Ils comportent le mot « nègre » dans leur titre.
– Vous rigolez, fait le bibliothécaire. J’ai au moins deux cents bouquins qui comportent le mot « putain » et personne ne me demande de les retirer.
– Cela prouve seulement, fait le noir, que vos femmes sont moins susceptibles que nous.

De l’utilisation du mot « putain »

Par un jour glacé d’hiver, un gamin, que son père a conduit à l’école, crie, très fort :
– Putain !

La maîtresse, qui l’a entendu, lui dit :
– Ce mot est particulièrement vilain. Il ne faut jamais l’employer ! Tu me promets de ne pas recommencer.
– Mais alors, demande l’enfant, quand je serai grand, si je ne peux pas dire cela, comment je réussirai à faire démarrer ma voiture ?