Méfiez-vous de l’affichage sauvage : l’autre jour, simplement parce que je m’étais adossé quelques instants contre un mur, je suis rentré chez moi avec une affiche collée sur le ventre.
Je connais un boxeur, exerçant aux États-Unis, qui a subi tellement de K.O. qu’il a fini par faire fortune grâce aux placards publicitaires que des annonceurs ont placés sous les semelles de ses chaussures…
Sur la vitrine d’un restaurant : « Si vous êtes satisfait de ma cuisine, je vous en prie, revenez. Mais si vous n’êtes pas satisfait, n’hésitez pas, et envoyez- moi vos amis, ce sera une sale blague à leur faire. »